Virologie moderne : chronique d’une imposture scientifique
Quand les cultures contaminées deviennent preuves, et que l'absence de causalité devient récit.
“La science n’est pas ce que l’on croit. C’est ce que l’on peut démontrer.
La virologie moderne, ce n’est pas la science de l’isolement.
C’est la science de l’à-peu-près.
La science du “presque”, du bricolage expérimental, du postulat transformé en dogme.
On aime à raconter que la virologie est née d’une découverte révolutionnaire — la révélation du monde invisible, des virus tapis dans l’ombre, prêts à frapper l’humanité.
On célèbre Pasteur, on brandit des images colorisées, on répète à l’envi que l’homme a vaincu la maladie en identifiant ses ennemis microscopiques.
Mais la réalité est bien différente.
Le vrai tournant de la virologie, ce n’est pas la découverte des “virus”.
C’est la découverte… des antibiotiques.
Parce que tant que les bactéries proliféraient dans les cultures, impossible de pointer un “virus” du doigt.
Tant qu’on ne pouvait pas éradiquer toute vie bactérienne d’un tissu mourant, la chasse au virus restait vaine.
C’est seulement quand on a pu stériliser l’environnement, éliminer les contaminants, que l’on s’est mis à accuser ce qui restait — ces résidus, ces débris, ces particules ambiguës — d’être les nouveaux coupables.
Et ainsi, toute la virologie moderne s’est construite non pas sur l’isolement mais sur le contrôle de la contamination.
Non pas sur la démonstration, mais sur l’élimination.
Ce qu’il reste quand on a tout supprimé devient, par défaut, “l’ennemi”.
Et ce glissement, imperceptible mais décisif, a forgé un paradigme.
Celui où la preuve manque, mais où l’affirmation triomphe.
La science, la vraie, commence par la question.
La virologie, elle, commence par la réponse.
Pour résumer :
La virologie moderne ne s’est pas construite sur l’observation pure, ni sur l’isolement d’agents responsables, ni même sur une rigueur méthodologique infaillible. Elle s’est bâtie sur un bricolage expérimental, sur des hypothèses transformées en dogmes, et sur l’oubli progressif de ses propres critères de preuve.
Car non, le grand tournant de la virologie n’a pas été la découverte des “virus” — mais bien celle des antibiotiques. Ce n’est qu’à partir du moment où l’on a pu supprimer les bactéries dans les cultures de tissus mourants que l’on a prétendu que tout ce qui restait devait être viral. Ainsi, la virologie s’est construite non pas sur l’isolement, mais sur le contrôle de la contamination.
Et c’est c’est le terrier qu’on va explorer dans la suite de cet article.
Une médecine Rockefellerienne : l’origine du paradigme
Il y a toujours un architecte derrière chaque changement de paradigme.
Dans l’ombre de la science du vivant, une dynastie s’est imposée en faiseuse de lois, de carrières, de vérités : les Rockefeller.
Ce n’est pas de la fiction.
C’est l’histoire.
Début du XXe siècle : l’Occident vacille entre deux visions du soin.
D’un côté, la médecine du terrain — Béchamp, les lois du vivant, l’art de la régénération, la foi dans l’intelligence innée du corps.
De l’autre, la médecine du combat — la guerre contre l’invisible, l’idée que l’homme doit dominer, purifier, stériliser tout ce qui échappe au microscope.
Et dans ce duel d’idées, la Rockefeller Foundation joue les juges, les arbitres… et les mécènes.
Sous couvert de philanthropie, elle distribue les dollars comme on distribue les brevets :
- subventions massives aux facultés de médecine,
- financement des hôpitaux modèles,
- contrôle des revues scientifiques,
- mainmise sur les conseils d’accréditation.
Mais cette générosité n’est pas neutre.
Elle est conditionnelle.
Elle exige un alignement :
— sur la chimie,
— sur la rationalisation,
— sur la maladie vue comme un ennemi extérieur à abattre.
Exit la médecine de terrain, la prévention, la vision holistique.
Béchamp évincé, relégué au rang de marginal, alors qu’il incarnait la possibilité d’une médecine au service du vivant, non de l’industrie.
À sa place, on installe Pasteur. Non pas l’homme de doute, mais le Pasteur de légende, refabriqué en prophète de la contagion et du vaccin salvateur.
La machine Rockefeller, elle, ne s’arrête pas là.
Elle pénètre jusque dans la sève du savoir médical.
Elle façonne les esprits, elle standardise les cursus, elle fait de la peur du microbe la matrice de tout enseignement, la justification de toute intervention.
Peu importe que Pasteur lui-même ait été contesté, que ses notes secrètes révèlent ses doutes, ses errements.
Le dogme est posé, la mécanique enclenchée.
Dans ce terreau idéologique, Thomas Rivers grandit.
Formé, financé, propulsé par le Rockefeller Institute, il va donner à la virologie sa doctrine :
- celle du virus tueur,
- celle du laboratoire-roi,
- celle de la culture cellulaire truquée.
Rivers n’est pas un génie isolé.
Il est la créature d’un système.
Celui qui transforme la médecine en marché, le doute en hérésie, la peur en business.
Des cultures mortes pour une science vivante ?
On voudrait nous faire croire que la science du microbe, c’est la science du vivant.
Qu’en étudiant les virus en laboratoire, on scrute le secret même de la vie.
Mais regarde : la vérité du laboratoire est tout autre.
Les “cultures cellulaires” qu’on utilise en virologie ?
Des cellules arrachées à leur organisme, séparées de leur environnement, privées de leurs codes, de leurs rythmes, de leurs signaux.
Pour les maintenir en vie, on bricole un bouillon artificiel :
- sérum de veau fœtal — du sang arraché à des fœtus de bovin à l’abattoir,
- antibiotiques à haute dose,
- sels, sucres, vitamines,
- tout ce qu’il faut pour empêcher la contamination… mais surtout pas pour retrouver la vie.
Ces cellules ne sont pas “vivantes” au sens plein.
Elles sont sous perfusion. Stressées.
À la limite de la dégénérescence, souvent à bout de souffle, en hypoxie, en carence permanente.
Et quand on réduit un peu la dose de sérum — parce qu’il coûte cher, ou pour “prouver” quelque chose — les cellules dépérissent, meurent lentement, explosent parfois.
C’est là que la magie opère.
Cette mort programmée, ce suicide cellulaire sous contrainte, devient la “preuve” d’un agent pathogène.
On l’appelle “effet cytopathique viral”.
Mais en réalité ? C’est juste le chant du cygne de cellules maltraitées, affamées, étranglées.
L’expérience, ici, n’observe pas la vie.
Elle observe sa décomposition.
Et elle la confond avec l’action du virus.
Mais on ne s’arrête pas là.
On prend ce bouillon mourant, on y ajoute un échantillon brut — mucus, sang, sécrétions, jamais purifiés, bourrés de fragments d’ADN, de protéines, d’enzymes, de toxines.
Si les cellules meurent plus vite, c’est la faute du “virus”.
Si rien ne se passe ?
On dope la scène.
On ajoute des lectines, des agents irritants, parfois des substances qui forcent la fusion ou la mort cellulaire, jusqu’à obtenir le résultat voulu : une réaction visible, photogénique, validée par le protocole.
C’est un théâtre.
Et la scène est truquée.
On a remplacé la vie par une simulation contrôlée.
On appelle “découverte” ce qui n’est que manipulation.
On baptise “preuve” ce qui n’est que répétition d’un artifice.
Mais la vraie question reste là, en suspens, sans réponse :
Où est le vivant, là-dedans ?
Où est la preuve ?
Où est la rigueur ?
Les manuels eux-mêmes l’avouent : sans antibiotiques, impossible de maintenir des cultures propres — et donc, impossible de pointer un virus du doigt. L’avènement de la virologie n’est pas celui de l’isolement, mais bien celui du contrôle de la contamination :
Ce que disent _réellement_ les protocoles d’“isolement viral”
1. On ne purifie pas l’échantillon.
On prélève un écouvillon nasopharyngé, du mucus, parfois du sang, du liquide broncho-alvéolaire, des selles, etc.
Cet échantillon est simplement filtré pour retirer les plus gros débris, mais il reste un véritable cocktail : ADN, ARN, protéines, enzymes, débris cellulaires, exosomes, bactéries, levures…
2. Pas de purification préalable du “virus”.
Les cultures cellulaires sont exposées directement à ce mélange, ou à un “lysat” cellulaire issu d’un premier passage — sans aucune isolation préalable d’une particule virale unique ou pure.
3. C’est dans ce bouillon complexe que l’on observe ensuite un “effet cytopathique” — et que l’on infère la présence d’un virus.
Exemples documentés :
- SARS-CoV-2, 2020 (Drosten, CDC, Institut Pasteur…) :
> “Clinical specimens (nasopharyngeal swab, sputum, etc.) are added directly to cell culture media… No further purification is performed prior to inoculation.”
- Fields Virology (manuel de référence) :
> “Clinical material is not purified before inoculation. It is directly applied to the susceptible cell line.”
- Encyclopedia of Virology :
On parle systématiquement d’échantillons cliniques, sans purification ni ultracentrifugation préalable.
Pourquoi ?
Parce que les “virus” seraient présents en quantité trop faible. Toute tentative de purification risquerait d’en “perdre” — on préfère donc tout inoculer en bloc.
Ce point seul rend la preuve expérimentale… épistémologiquement bancale.
À retenir
> Les protocoles d’“isolement viral” ne reposent pas sur des virus purifiés, mais sur des mélanges biologiques bruts, bourrés de fragments d’ADN, d’ARN, de protéines, d’exosomes, d’enzymes, et parfois de bactéries résiduelles.
Dans la suite de l’article vous découvrirez pourquoi la notion de virus à été propagée
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