Vers la Révolution Métabolique : et si le cancer n'était qu'un maillon d'un continuum réversible ?
Le système se fissure, l’humain se relève🔥
Depuis des décennies, un complexe politico‑pharmaceutique dresse protocoles standardisés, campagnes de peur et parcours patient monétisés.
Mais l’onde de choc provoquée par l’élection de Donald Trump (2024) et la nomination de Robert F. Kennedy Jr. à la santé américaine ouvre une brèche :
Ce qui était murmuré dans les cercles dissidents – manipulation statistique, recherche orientée, brevets transformés en rentes – surgit maintenant en pleine lumière.
➡️Chaque citoyen redevient souverain de son corps dès lors qu’il refuse la narration imposée.
L’histoire nous rappelle que lorsque le régulateur doute, le changement devient inéluctable.
Du dogme aux données : un nouveau regard sur le cancer
Pendant des décennies, on nous a expliqué que le cancer « tombe » sur l’individu par malchance ou par gêne héréditaire.
Il fallait donc éradiquer la tumeur à coups de molécules toujours plus agressives. Or la recherche contemporaine – des travaux d’Otto Warburg aux études métaboliques les plus récentes – révèle une vérité simple : le cancer est d’abord la conséquence d’un effondrement progressif de la respiration cellulaire.
Lorsque la cellule manque d’énergie, elle se rabat sur la fermentation pour survivre, quitte à perdre son identité et sa différenciation.
Ainsi se dessine un spectre métabolique commun à toutes les maladies chroniques : diabète, Alzheimer, obésité, maladies auto‑immunes, cancer.
Plus qu’un coup du sort, nous faisons face à un point de rupture énergétique que l’on peut détecter, ralentir et, souvent, inverser.
Un spectre réversible ?🧐
Plutôt qu’un verdict binaire « malade / guéri », imaginons un curseur :
➡️Stade 0-1 : baisse subtile de la production d’ATP, fatigue, légère résistance à l’insuline.
➡️Stade 2-3 : inflammation systémique, surcharge hépatique, dérèglement hormonal.
➡️Stade 4-5 : prolifération tumorale, perte de différenciation, métastases.
À chaque étape, restaurer le métabolisme reste possible : améliorer la disponibilité d’oxygène, l’entrée du glucose dans la mitochondrie, la flexibilité lipidique, etc.
Les expériences précliniques sur la cétose nutritionnelle, la restriction calorique périodique ou les co-facteurs mitochondriaux montrent déjà des régressions tumorales partielles lorsque la chimio- ou l’immunothérapie seule plafonnait voir faisaient régresser la physio.
Dix leviers pour rallumer les mitochondries
🔹Vitamine B1 & niacinamide (B3) – relancent le cycle de Krebs et rééquilibrent NAD⁺/NADH.
🔹Minéraux Na/K/Mg/Ca – soutiennent le gradient électrochimique cellulaire.
🔹Élimination des PUFA oxydés – réduit le stress oxydatif lipidique.
🔹Elimination des moisissures et parasites
🔹Soleil (UV‑B matin, infra‑rouge soir) – synchronise l’horloge biologique et active le cytochrome c.
🔹Mise à la terre – draine charges positives, abaisse la CRP.
🔹Respiration diaphragmatique & entraînement CO₂ – augmente l’oxygène sans hyperventiler.
🔹Jeûne modulé (16:8, 24 h hebdo, 5:2, ou encore OMAD pour les plus aguerris) – déclenche autophagie, casse l’hyperinsulinisme. Toujours executé en fonction de l’age, du niveau de vitalité, des carences, de la qualité des emonctoires etc etc…
🔹Progestérone, prégnenolone, T3 bio‑identiques – accélèrent le métabolisme, modulent cortisol.
🔹Détox des xéno‑œstrogènes (plastique, parabènes, aluminium) – libère les récepteurs hormonaux.
🔹Apports caloriques suffisants & protéines animales régénératives – préviennent le catabolisme et soutiennent le glutathion.
➡️Le principe est simple : moins de poison, plus de puissance cellulaire.
La deuxième choses dont j’aimerai parler ce sont les moisissures et les parasites.
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