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Relance métabolique & vitalité - Part 2

Muscler le terrain : optimiser l’énergie cellulaire, la sensibilité à l’insuline et la récupération

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Vital Holis
nov. 23, 2025
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Amplifier le feu que tu as déjà rallumé

Si tu lis ces lignes, c’est que tu as déjà commencé le travail de fond.

  • Tu as allégé tes matinées

  • Tu as remis du fruit, de la lumière, du mouvement

  • Tu as cessé de balancer sucre et gras dans le même tuyau à longueur de journée.

Résultat : un peu plus de chaleur, l’esprit moins brumeux, parfois un regain de motivation que tu n’expliques pas vraiment.
C’est le signe que ton métabolisme se souvient de ce qu’il sait faire.

La Part 1, c’était ça :
Réapprendre à ton corps dans quel ordre il aime recevoir le carburant.
Lui rappeler qu’il existe encore un rythme, des cycles, des fenêtres où l’énergie circule mieux.
Le sortir du chaos permanent “viennoiserie – plat en sauce – sucre – alcool – canapé”, qui le force à survivre au lieu de créer.

La Part 2 prend le relais à un autre niveau.

Ici, on ne parle plus seulement de ce qui arrive dans l’assiette.
On parle de ce que tes cellules font vraiment avec ce que tu leur donnes.
On parle de mitochondries, de GLUT4, d’AMPK, d’insuline — On va essayer d’être explicite, on vulgarise tout en gardant l’essence même de la physiologie du vivant :

En clair :

  • tu peux avoir le bon carburant,

  • au bon moment,

  • et pourtant plafonner.

Parce que le moteur tourne encore sur trois cylindres.

Tu n’as plus le métabolisme de tes grands-parents

Nos grands-parents mangeaient du pain, des patates, un peu de vin, ils bougeaient, dormaient la nuit, prenaient le soleil sans se poser mille questions.
Leur terrain encaissait.
Le nôtre encaisse beaucoup moins.

On se retrouve avec :

  • un systeme mitochondrial en burnout silencieux (fatigue, récup lente, coups de barre après les repas),

  • un foie qui a géré plus de solvants, de pesticides et de métaux que toute une lignée avant nous,

  • des carences fonctionnelles en B1, magnésium, antioxydants, alors même qu’on mange “à notre faim”,

  • un système nerveux toujours en légère alerte, saturé de lumière artificielle et de notifications.

Dans ce décor, l’alimentation intelligente suffit parfois à faire 50 % du chemin.
Pour les 50 % restants, il faut soutenir :
– le moteur (mitochondries),
– les portes d’entrée du carburant (GLUT4, sensibilité à l’insuline),
– les systèmes de sécurité (antioxydants, gestion du stress métabolique).

C’est là ou des compléments de qualité peuvent potentiellement nous aider.

Pourquoi tant de métabolismes décrochent avant même de parler se complémenter… Et pourquoi même certains se lancent dans la complémentation et Boom ça déraille.

Déjà on ne part pas tous du même point de départ.

Certains lisent ce protocole avec un foie encore souple, une thyroïde juste ralentie, quelques kilos en rab.
D’autres arrivent ici après des années de :
régimes yo-yo, stress chronique, carences micronutritionnelles, nuits éclatées, médicaments, toxiques environnementaux.

Résultat : le métabolisme n’est pas seulement “lent”.
Il est désorganisé.

Quelques réalités qu’on évite souvent :

  • Un foie saturé (médocs, alcool, solvants, pesticides, métaux lourds) tamponne de plus en plus mal le glucose.
    La glycémie part dans tous les sens. Le cerveau prend cher, le pancréas aussi.

  • Une carence prolongée en B1, B2, magnésium, cuivre, potassium, fait qu’un simple repas glucidique devient un effort.
    Le glucose ne finit pas en ATP, mais en sous-produits incomplets : lactate, stress oxydatif, brouillard mental.

  • Des mitochondries abîmées (infections chroniques, inflammations à répétition, sédentarité, obésité, polluants) ne transforment plus le carburant en énergie.
    Elles fuient, elles rament, elles ralentissent.
    Du coup, le même repas peut donner soit une énergie nette, soit une fatigue écrasante, selon l’état de ces centrales.

Ce protocole ne “crée” pas un métabolisme.
Il réapprend au tien à fonctionner avec ce qu’il savait déjà faire :

  • brûler du sucre sans paniquer,

  • utiliser la graisse en relais,

  • encaisser les flux sans tout stocker par peur du lendemain.

On le verra dans la suite de l’article les compléments de la Part 2 ne sont pas là pour “remplacer” la base.
Ils servent surtout à redonner de la marge à un système qui a été trop longtemps en survie.

Les informations fournies par Vitalholis sont à des fins éducatives uniquement et ne remplacent pas des conseils, un diagnostic ou un traitement médical ou naturopathique personnalisé.
La lecture de ce contenu ne crée pas de relation médecin–patient ni praticien–client.
Consultez toujours un professionnel de santé qualifié avant d’apporter des modifications à votre alimentation, vos suppléments, vos médicaments ou à vos plans de traitement.

Mais avant de parler de stack de compléments on va parler du cadre nécessaire à la relance métabolique, ca va faire passerelle entre la part 1 et cette partie :

On va rester concret.

L’idée, ce n’est pas une collection de gélules pour se donner bonne conscience.
L’idée, c’est d’appuyer sur quelques leviers clefs :

  • Mieux transformer le glucose en ATP
    Tu manges un fruit, un bol de riz, des patates.
    Soit ça part en chaleur, en mouvement, en clarté mentale.
    Soit ça finit en brume, en envie de t’allonger, en stockage silencieux.
    La différence se joue dans tes mitochondries : 2 ATP par molécule de glucose, ou 36.
    Même carburant, rendement totalement différent.

  • Mieux diriger le carburant là où il sert
    Vers les muscles, le cerveau, le foie qui travaille proprement.
    Pas vers la ceinture abdominale et le foie gras de sédentaire.
    Là entrent en jeu GLUT4 (les “portiers” du glucose) et la sensibilité à l’insuline (le “manager” qui leur parle).

  • Réduire le bruit de fond
    Oxydation, inflammation, micro-dommages répétés qui t’épuisent sans que tu comprennes pourquoi.
    Une partie de la stack sert à calmer ce bruit permanent, pour que l’énergie circule au lieu de se perdre à colmater des fuites.

  • Rendre le corps à nouveau flexible
    Capable de tourner au sucre quand il y en a,
    de passer au gras la nuit ou en jeûne léger,
    sans se bloquer dans un mode “survie” où il stocke au moindre écart.

Tu gardes la Part 1 comme fondation quotidienne.
La stack de complément vient en renfort pour que ton corps réponde mieux à ce que tu fais déjà de bien.

Attention : on va quand même préciser ce que cette deuxième partie n’est pas

Il faut le dire clairement.

Ce chapitre ne sert pas à :

  • compenser des nuits de 5 h,

  • effacer des journées entières assis devant trois écrans,

  • “permettre” n’importe quelle alimentation parce qu’on a ajouté trois compléments “métaboliques”.

Tu as construit quelque chose avec la Part 1 :
– un matin qui réveille au lieu d’anesthésier,
– un mouvement qui relance au lieu d’épuiser,
– une manière de manger qui respecte déjà la concurrence sucre/graisse.

Une approche de supplémentation qui reste vivante

Je continue l’idée vraiment ici est de te proposer un cadre de complémentation intelligent :

  • on introduit un seul outil à la fois,

  • toujours en dose minimale au départ,

  • on observe ce qui se passe (énergie, digestion, sommeil, humeur, pump, récup),

  • on laisse le temps au corps d’envoyer un feedback clair.

Tu deviens observateur de ton propre métabolisme.
Tu cesses de “prendre des choses” au hasard.
Tu testes, tu coupes, tu reprends, tu cycles.
Certains jours, la stack sera légère. D’autres, tu la mettras en pause.
C’est ce jeu-là qui crée la vraie relance durable, pas l’obsession.

Et j’aurais même tendace à vous dire que ces conseils et recommandations sont valables pour l’ensemble des compléments que vous pourrez prendre à l’avenir.
Ne pas se complémenter tout azimut mais le faire avec intelligence et cohérence.

Pour qui cette Part 2 fait vraiment la différence ?

Si vous vous reconnaissez dans ce tableau :

  • fatigue après les repas plus que le matin,

  • sensation de batterie interne qui refuse de monter à 100 %,

  • corps ni obèse ni sec : ce fameux skinny-fat, mou, sans tonus,

  • envie de sucre récurrente alors que l’alimentation est déjà “correcte”,

  • progrès à la salle ou en cardio qui stagnent malgré les efforts,

  • cerveau qui cale en milieu d’après-midi, même sans junk food.

Si tu te reconnais là-dedans, alors se complémenter va avoir du sens.
On garde la Part 1 comme squelette, et on vient maintenant nourrir le muscle, l’étincelle, la finesse des réglages.

À partir d’ici, on entre dans le dur : comment utiliser concrètement taurine, B1, L-carnitine & co pour transformer ce cadre en vraie stack de relance métabolique. 🔒

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