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Relance métabolique & vitalité - Part 1

« Fatigué d’éteindre des incendies ? Il est temps de contrôler le foyer.

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Vital Holis
nov. 17, 2025
∙ abonné payant

Vous en avez assez d’être en sous-régime, de vivre chaque journée comme un effort, de lutter pour retrouver la chaleur, la clarté d’esprit, l’élan vital ?
Vous cherchez la méthode qui vous permettra non seulement de “brûler du gras”, mais surtout de rallumer le feu intérieur – ce fameux moteur qui fait qu’on se sent vivant, puissant, incarné ?

Bienvenue.

Ce que je vais vous partager ici n’est ni une méthode de privation, ni une nouvelle dictature des calories ou des restrictions à la mode. C’est un mode d’emploi pour réapprendre à votre corps à VIVRE :
• à reconnaître l’abondance,
• à retrouver la force du matin,
• à mobiliser l’énergie dès le réveil,
• à relancer vos hormones endormies,
• à ressentir la puissance du mouvement,
• à profiter de repas vrais, simples, puissants,
• à ne plus avoir peur du sucre ni du gras,
• à vous libérer enfin de la torpeur et de la frustration.

Ce protocole va vous permettre :

  • de retrouver une énergie linéaire toute la journée,

  • de réveiller votre thyroïde, vos surrénales, votre libido,

  • de régénérer votre digestion et votre système nerveux,

  • d’accélérer la combustion des graisses sans sacrifier vos muscles,

  • de reconstruire un terrain hormonal stable,

  • d’installer la flexibilité métabolique : alterner sucre et gras comme carburants, selon le rythme de la vie et non la peur du stockage.

Vous allez découvrir comment :

  • Réveiller le métabolisme avec des fruits et des rituels matinaux qui rebranchent la physiologie sur la lumière, l’eau, le mouvement

  • Pratiquer le mouvement stratégique avant midi pour ancrer l’énergie et préparer l’assimilation du repas

  • Organiser les repas pour éviter les pièges du chaos métabolique (mélange sucre/gras, stockage chronique, fringales)

  • Utiliser la graisse comme un vrai complément : qualitative, ciblée, selon la chronobiologie et la tradition

  • Replacer les amidons dans le tempo de la performance, la récupération, la santé du microbiote

  • Doser les fenêtres “full gras” et “full glucides” pour relancer l’élan vital sans carence ni frustration

  • Adapter le tout à votre réalité : actifs, sédentaires, sportifs, parents, entrepreneurs, seniors, chacun peut reprendre la main sur sa vitalité.

Ici, pas de dogme, pas de punition.
Ici, on cultive l’abondance, la simplicité, le respect du vivant et de ses rythmes.
Vous allez découvrir la puissance des signaux physiologiques positifs, et comment ils transforment durablement votre corps, votre mental et votre vie.

Prêt à réenclencher la machine ?
À retrouver la chaleur, la force, l’envie ?
Alors on attaque.

Les informations fournies par Vitalholis sont à des fins éducatives uniquement et ne remplacent pas des conseils, un diagnostic ou un traitement médical ou naturopathique personnalisé.
La lecture de ce contenu ne crée pas de relation médecin–patient ni praticien–client.
Consultez toujours un professionnel de santé qualifié avant d’apporter des modifications à votre alimentation, vos suppléments, vos médicaments ou à vos plans de traitement.

Ce petit disclaimer passé il me parait important de vous expliquer comment j’en suis arrivé là, l’objectif étant de comprendre pourquoi tout cela fonctionne.

Revenons donc à deux hommes qui n’ont jamais travaillé ensemble… mais qui décrivent exactement le chaos dans lequel vit votre métabolisme :

👉 Herbert Shelton
👉 Philip Randle

Shelton & Randle : deux hommes qui expliquent pourquoi ton feu s’est éteint

Avant d’entrer dans le « quoi faire », il faut comprendre pourquoi ton corps s’est mis en économie d’énergie.

On parle souvent de “mauvaise génétique”, de “prise de poids avec l’âge”, de “métabolisme lent”.
En réalité, dans la majorité des cas, ce n’est ni magique ni mystérieux.
C’est la conséquence logique de deux lois du vivant que personne ne t’a expliquées:

  • Shelton, qui a regardé comment tu manges.

  • Randle, qui a regardé ce que tes cellules font de ce que tu manges.

Ces deux hommes ne se sont jamais croisés, mais leurs travaux se répondent.
Shelton décrit le chaos à l’entrée du système.
Randle décrit le chaos au cœur de la cellule.
Toi, tu vis les deux en même temps : lourdeurs digestives + fatigue + prise de gras.

Shelton : le jour où on a oublié que la digestion a des lois

Imagine un restaurant où tous les clients arrivent en même temps, balancent leurs commandes dans tous les sens, changent d’avis, s’installent n’importe où, crient dans la salle…
Le chef peut être brillant, la cuisine équipée, le service de qualité : le résultat sera un carnage.

C’est exactement ce qui se passe dans la plupart des ventres modernes.

Shelton, lui, était obsédé par une chose :

“Que se passe-t-il quand on arrête de traiter l’estomac comme une poubelle et qu’on recommence à le traiter comme un organe vivant ?”

Il a vu, année après année :

  • que les repas simples, avec peu d’aliments différents, sont digérés vite,

  • que les repas combinés à l’infini (sucré + gras + alcool + farine + protéines lourdes) se transforment en brouillard, gaz, reflux, fatigue,

  • que le corps récupère mieux quand on lui donne de vraies pauses : repas allégés, monodiètes, jeûnes.

Il ne parlait pas d’enzymes, de pH, de microbiote.
Il parlait de terrain : soit tu le respectes, soit tu le forces, et il se venge.

Physiologiquement, aujourd’hui, on sait ce qu’il avait senti :

  • Ta bouche lance la première étape : mastication, enzymes salivaires.

  • Ton estomac a besoin d’un certain type de boulot :

    • plus acide et plus lent pour les protéines et les graisses,

    • plus rapide, presque “en transit”, pour les sucres simples (fruits, miel).

  • Quand tu balances les deux ensemble – croissant/fromage le matin, gratin crème+pâtes le soir – tu forces ton estomac à tout gérer en même temps :

    • acidifier longtemps,

    • mais laisser passer vite une partie,

    • tout en gérant un volume énorme.

Résultat :

  • retard de vidange gastrique,

  • fermentation des sucres coincés derrière les graisses,

  • spasmes, brûlures, ballonnements,

  • fuite d’énergie vers le tube digestif → toi, tu n’es plus bon à rien derrière.

Shelton était radical : il poussait les monodiètes, les combinaisons alimentaires strictes, le jeûne dur.
On n’est pas obligés de le suivre au mot.
Mais sa grande intuition reste juste :

Plus c’est simple dans l’assiette, plus c’est fluide dans le corps.
Plus c’est fluide dans le corps, plus ton énergie est disponible pour autre chose que “gérer les dégâts”.

Et ça, c’est le premier étage de la fusée.

Randle : ce qui se passe quand tu envoies sucre et gras au même feu

Shelton regardait la salle de restaurant.
Randle, lui, a descendu l’escalier et est allé voir dans la chaudière.

Il s’est posé une question très simple :

“Quand il y a du sucre et de la graisse dans le sang, qu’est-ce que la cellule choisit de brûler ?”

La réponse est à la fois élégante et violente :

  • Tes cellules ne brûlent pas tout en même temps.

  • Elles choisissent en priorité ce qui est le plus “présent” dans le sang et dans la mitochondrie.

  • Quand les acides gras affluent, ils prennent la place.

  • Quand ils prennent la place, ils bloquent l’entrée du glucose.

  • Quand le glucose reste dehors, ton corps doit monter l’insuline pour forcer sa place.

  • Quand ça se répète tous les jours, ton corps finit par dire :

“Stop, je ne réponds plus normalement à l’insuline.”
C’est l’insulinorésistance.

Tu n’as pas besoin de tout retenir en biochimie.
Mais deux images suffisent.

Image 1 : la file d’attente à la pompe

Visualise ta mitochondrie comme une station-service avec deux files :

  • une pour les camions-citernes de graisse,

  • une pour les citadines de glucose.

Quand tu manges un repas type burger/frites/soda :

  • les camions-citernes (acides gras) arrivent par convois entiers,

  • les petites voitures (glucose) déboulent aussi.

Comme les camions prennent plus de place et rapportent beaucoup de carburant à la fois, la station-service se met à les traiter en priorité.

Concrètement, dans la cellule :

  • les acides gras entrants, sont transformés en acétyl-CoA, ils saturent le cycle de Krebs,

  • ils augmentent le niveau de NADH/FADH₂ et de citrate,

  • ces signaux freinent la glycolyse et l’enzyme qui permet au pyruvate (issu du glucose) de rentrer dans la mitochondrie.

Résultat :

  • le glucose reste dehors,

  • le taux de sucre dans le sang monte,

  • le pancréas envoie plus d’insuline,

  • l’excès finit… stocké.

Fig. 2.

Je vais préciser cette partie c’est nécessaire :

Quand les acides gras prennent le contrôle de la mitochondrie

Imagine la mitochondrie comme une station-service de haute sécurité, avec deux files d’attente : l’une pour les voitures (glucose), l’autre pour les camions (acides gras). Les deux veulent rentrer, mais il y a un chef de station qui décide qui passe en priorité.

Quand tu manges beaucoup de graisses :

  • Les acides gras arrivent en masse dans la cellule.

  • Ils sont transformés dans la mitochondrie en acétyl-CoA (le “ticket d’entrée” dans le cycle de Krebs, la grande centrale de production d’énergie).

  • Mais voilà : les acides gras génèrent énormément d’acétyl-CoA, qui s’accumule dans la station-service.

  • Ce surplus d’acétyl-CoA entraîne une production abondante de NADH et de FADH₂ (les “jetons” qui alimentent la chaîne respiratoire, la fameuse production d’ATP).

  • Mais quand il y a trop de jetons, la file ralentit… et des “feux rouges” s’allument pour réguler le flux.

Le corps a prévu des boucles de rétrocontrôle :

  • L’accumulation de NADH et de FADH₂, mais aussi de citrate (un autre messager du cycle de Krebs), va envoyer un message :

“Stop ! On a assez d’énergie, ralentis l’entrée du glucose, sinon on va saturer le système.”

  • Cette inhibition se fait via le blocage d’une enzyme clé : la pyruvate déshydrogénase (PDH), celle qui permet au pyruvate (issu du glucose) de rentrer dans la mitochondrie et d’être brûlé.

  • Résultat : le glucose reste à la porte, il circule dans le sang, et le pancréas doit sécréter encore plus d’insuline pour essayer de le faire rentrer, sans succès.

Physiologiquement, c’est comme si la station-service disait :

“J’ai déjà trop de camions à traiter, les voitures devront attendre dehors, même si elles sont pleines de carburant.”

Il est important de retenir que :

  • Les acides gras, une fois arrivés en grand nombre, monopolisent la capacité de la mitochondrie.

  • Les signaux métaboliques (NADH, FADH₂, citrate) font “ralentir” l’utilisation du glucose.

  • L’enzyme PDH est inhibée, donc le pyruvate issu du glucose ne peut plus rentrer dans la mitochondrie pour être brûlé.

  • Le glucose s’accumule dans le sang, l’insuline grimpe, le stockage s’enclenche.

C’est tout le génie du cycle de Randle :

“Le carburant qui arrive en excès prend le contrôle, et bloque l’accès à l’autre.”

Ce mécanisme est fondamental pour comprendre pourquoi le mélange abondant graisses + glucides (ex : fast-food, pizza, viennoiseries) finit toujours par rimer avec stockage, perte de sensibilité à l’insuline, et baisse de vitalité.

Tu veux relancer le métabolisme ? Fais passer les carburants à tour de rôle, jamais tous ensemble.
La cellule te dira merci.

Image 2 : le rond-point saturé

Imagine un rond-point avec deux voies d’entrée :

  • une depuis la “route du sucre”,

  • une depuis la “route du gras”.

Les jours où tu manges surtout des fruits, des féculents digestes, peu de graisses :

  • la route du sucre est fluide,

  • le rond-point fait passer les voitures (glucose) sans problème,

  • elles parcourent la ville (tes tissus), livrent l’énergie, et c’est terminé.

Les jours où tu manges très gras mais peu de glucides :

  • la route du gras est prioritaire,

  • les camions (acides gras) tournent dans le rond-point,

  • ça marche aussi, ton corps tourne principalement au gras.

Le problème, c’est le quotidien moderne :

  • matin : viennoiserie (farine + sucre + beurre),

  • midi : plat en sauce + féculents + dessert,

  • soir : gratin, vin, fromage, dessert, biscotte devant Netflix.

Là, tu as les deux routes pleines en permanence.
Le rond-point n’est pas conçu pour gérer ce flux continu.
La circulation se grippe.
Cela donne, au fil des années :

  • glycémie qui monte,

  • triglycérides élevés,

  • foie qui se graisse,

  • prise de gras viscéral,

  • fatigue chronique,

  • cerveau dans le brouillard.

Randle a donné un nom à ce mécanisme :

glucose-fatty acid cycle.
En français : le cycle de la compétition sucre/graisse.

Il n’a jamais dit “le sucre est mauvais” ou “le gras est mauvais”.
Il a dit :

“Quand les deux sont toujours en excès ensemble,
c’est le chaos métabolique.”

En résumé :
Mangez beaucoup de glucides ou beaucoup de lipides. Mais ne consommez jamais à la fois beaucoup de glucides et beaucoup de lipides.

Lorsque l’organisme est saturé de glucose et de graisses, ces deux substances entrent en compétition pour l’oxydation. Aucune n’est brûlée efficacement, les deux sont stockées.

Les glucides provoquent des pics d’insuline. L’insuline indique au corps de stocker de l’énergie. En présence de graisses, l’insuline les achemine directement vers les cellules adipeuses.

Choisissez-en un. Respectez le cycle de Randle.

Quand les deux se rencontrent : ce que tu vis dans ta journée

Maintenant, mets Shelton et Randle dans une seule journée “normale”.

  • Petit-déjeuner : tartine beurre/confiture + jus d’orange + café au lait.

    • Shelton : combustion lente + rapide mélangée, acidité, fermentation possible.

    • Randle : sucres + graisses saturées + lactose → double signal, début de compétition dans les muscles.

  • Midi : burger/frites, dessert, boisson sucrée.

    • Shelton : surcharge digestive énorme, transit ralenti, sieste obligatoire.

    • Randle : pic d’acides gras + pic de glucose → les graisses gagnent, le glucose peine à rentrer → réponse insulinique massive, stockage.

  • Après-midi : coup de barre, café + biscuit pour tenir.

    • Shelton : digestion jamais réellement finie, nouvelle charge sucrée sur une fermentation en cours.

    • Randle : nouvelle vague de glucose alors que les acides gras circulent encore → pancréas en tension.

  • Soir : apéro, plat en sauce, dessert, alcool.

    • Shelton : dernière balle dans le pied du tube digestif, nuit de “digestion” plus que de régénération.

    • Randle : encore sucre + gras combinés, à un moment où tu ne bouges plus → stockage ralenti mais massif.

Et toi, tu te réveilles le lendemain :

  • sans vraie faim,

  • avec la langue chargée,

  • le ventre gonflé,

  • le cerveau embrumé,

  • la motivation au ras du sol.

Tu te dis que tu manques de volonté.
En réalité, tu violes chaque jour deux lois physiologiques que personne ne t’a enseignées.

Le cœur du protocole : réconcilier Shelton et Randle avec ta vie moderne

Ce protocole ne sort pas de nulle part.
Ce n’est pas “encore une méthode”.
C’est la traduction concrète de ces deux messages :👇

  1. Message de Shelton
    → Simplifie.
    → Respecte l’ordre naturel.
    → Arrête de demander à ton tube digestif de faire tout, tout le temps.

  2. Message de Randle
    → Un repas = un carburant dominant.
    → Des fenêtres claires : parfois surtout sucre, parfois surtout gras, rarement le grand mix.
    → Donne à tes cellules des signaux lisibles.

Quand tu commences ta journée aux fruits :

  • tu respectes Shelton : digestion légère, rapide, propre ;

  • tu respectes Randle : fenêtre glucidique claire, peu de graisses → le glucose devient le carburant de référence du matin.

Quand tu places du mouvement en fin de matinée :

  • tu consommes ce glucose au lieu de le laisser stagner,

  • tu améliores la sensibilité à l’insuline,

  • tu ouvres un boulevard métabolique pour le repas de midi.

Quand tu ne mélanges pas graisses et glucides dans le même repas :

  • tu évites au tube digestif d’avoir à tout faire en même temps,

  • tu évites à la mitochondrie de se retrouver submergée par deux carburants concurrents,

  • tu entretiens la flexibilité : certains repas orientés “sucre”, d’autres orientés “gras”, sans guerre permanente.

Quand tu considères la graisse comme un complément stratégique, pas comme un bain permanent :

  • tu offres à tes hormones de quoi se reconstruire,

  • sans basculer dans l’obésité métabolique.

Quand tu places les amidons autour de l’effort,

  • tu utilises leur potentiel de recharge musculaire,

  • tu appliques Randle dans le bon sens : le sucre sert, il ne s’accumule pas.

Et quand tu gardes un vrai repas gras par jour, voire une journée full gras de temps en temps :

  • tu actives ta capacité à tourner principalement aux lipides,

  • tu offres des signaux d’abondance et de sécurité hormonale,

  • tu casses la monotonie métabolique qui éteint le feu intérieur.

En clair :

  • Shelton t’apprend à respecter la bouche, l’estomac, l’intestin, le nerf vague.

  • Randle t’apprend à respecter la mitochondrie, l’insuline, les choix de carburant.

  • Le protocole que tu t’apprêtes à lire, c’est le mode d’emploi pour les honorer tous les deux… sans quitter le XXIᵉ siècle.

Tu ne vas pas retourner à l’asile hygiéniste.
Tu ne vas pas vivre dans un labo de biochimie.

Tu vas juste réapprendre à parler la langue de ton corps :

  • un message à la fois,

  • un carburant dominant par repas,

  • des cycles, des fenêtres, des pauses,

  • du sucre quand c’est le moment, du gras quand c’est le moment.

À partir de là, on peut attaquer le concret :
matinée aux fruits, mouvement stratégique, dissociation graisses/glucides, hiérarchie des lipides, timing des amidons, fenêtres “full gras”.

C’est là que tu vas sentir, jour après jour, ce que Shelton et Randle n’ont jamais pu t’expliquer en direct :
la sensation d’un corps qui recommence à tourner dans le bon sens.

C’est parti pour le protocole : 👇

Prêt à remettre du feu dans ton corps, à sortir de la confusion alimentaire, à sentir ton métabolisme repartir ?
Le détail du protocole t’attend juste derrière ce mur.

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