Quand le soufre intestinal sabote votre vitalité

Comment l’excès d’H₂S freine vos mitochondries — et comment reprendre le contrôle

Si tu réagis aux œufs, à l’ail, à l’oignon, au lactosérum (whey), à la taurine, au NAC ou même à la viande, tu pourrais présenter une sensibilité au soufre, souvent liée à une surabondance de bactéries réductrices de soufre dans le gros intestin ou dans le cadre d’un SIBO (prolifération bactérienne de l’intestin grêle).

Le principal sous-produit de ces bactéries est le sulfure d’hydrogène (H₂S), qui, en excès :

– inhibe l’oxydation et la synthèse du butyrate,
– déclenche une inflammation,
– et perturbe la fonction mitochondriale.

Normalement, le H₂S est éliminé par les enzymes mitochondriales qui le transforment en sulfate.
Mais lorsque les mitochondries fonctionnent mal, le H₂S s’accumule au niveau de la cytochrome c oxydase (CCO), bloquant ainsi la production d’ATP et d’eau, sans jamais être correctement métabolisé.

Pour corriger cette situation :
– optimiser la santé intestinale et la digestion,
– retirer temporairement les aliments riches en soufre,
– exposer les mitochondries à la lumière infrarouge pour soutenir leur fonctionnement,
– et renforcer les autres zones fragiles de ta biologie selon les résultats d’analyses ou les symptômes observés.

Et garde une chose en tête :

Le problème, ce n’est pas le soufre. C’est l’équilibre, la capacité de ton terrain à encaisser, métaboliser, recycler.

Mais reprenons depuis le début…

🔒 Beaucoup d’entre nous passent à côté de ce message silencieux du vivant, croyant à tort qu’ils “digèrent mal” un aliment. Et si c’était la clé d’un terrain profondément fragilisé ?

C’est ici que l’aventure commence… »

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