GABA, eau morte, glutamate & lumière bleue : le plan de contrôle par l’excitation
Le contrôle ne passe plus par la peur, mais par la stimulation. L’eau, la lumière, les ondes : tout excite pour mieux épuiser.
🧠Surstimulation, Système Nerveux en Burst, Surexposition : L’ère des Corps Incandescents
Nous vivons dans un monde où l’agitation est devenue la norme.
Et notre corps, notre cerveau, notre âme… n’y étaient pas préparés.
Chaque vibration du téléphone.
Chaque exposition à la lumière bleue.
Chaque petit bruit de fond dans un open-space sans oxygène.
Chaque « ping » qui vous coupe au milieu d’une pensée profonde.
Chaque mot anxiogène sur une story que vous n’avez même pas demandé à voir.
Tout cela est traité comme une agression.
Et pas métaphoriquement.
Le système nerveux autonome — votre interface directe avec la vie — ne fait pas la différence entre une attaque de lion et une avalanche de micro-stimuli modernes.
Ce que votre cortex rationnel ignore, votre système limbique, lui, le vit pleinement.
Il libère. Il réagit. Il brûle.
À force d’être piqué, secoué, dopé puis vidé, votre système sympathique reste en état d’alerte permanent.
🧯 Le cortisol ne redescend jamais vraiment.
🥵 La température intérieure est toujours un peu trop haute.
⏱ La fréquence cardiaque bat trop vite, même dans le calme.
💤 Et le sommeil n’est plus qu’un survol léger, sans véritable atterrissage réparateur.
Les gens vous diront que vous êtes stressé.
Mais ce n’est pas le bon mot.
Vous êtes électrisé. En permanence. Comme un fil dénudé.
Et cela finit par se voir : dans la rétention d’eau, la perte de cheveux, les inflammations inexpliquées, l’eczéma nerveux, la dépression larvée, la difficulté à vous concentrer.
Ce n’est pas vous qui êtes faible.
C’est le monde qui est devenu biologiquement invivable.
Et votre corps… tente seulement de survivre à tout ça.
⚔️Exogène vs Endogène : la bataille intérieure
Le problème, ce n’est pas seulement ce qui vient de l’extérieur.
C’est ce qui finit par s’activer à l’intérieur.
Nous sommes cernés.
Par des agressions exogènes :
— Notifications qui explosent le silence.
— Ondes qui traversent vos cellules sans permission.
— Lumière bleue qui perce vos pupilles à minuit.
— Mails professionnels à 23h07.
— Voitures, néons, bruit, mots creux.
Mais il y a pire : ce qui s’active en vous.
Les réflexes ancestraux. Les circuits d’alerte.
Le mental qui n’arrive plus à se taire.
L’hypothalamus qui sonne l’alarme alors qu’il n’y a aucun danger tangible.
Le feu n’est plus dehors.
Il est devenu endogène.
Et il ne s’éteint plus.
🌪 Chaque micro-agression réactive la dopamine, puis l’anxiété de son absence.
🧨 Chaque pic d’adrénaline finit par laisser place à un crash de noradrénaline.
🧠 Chaque flux d’informations empêche le cortex préfrontal de faire son travail : trier, poser, décider.
Et en arrière-plan, le système immunitaire — dans un brouillard inflammatoire constant — ne sait plus qui est l’ennemi.
Le corps est censé gérer des pics de stress courts, suivis de phases de récupération longues.
Mais aujourd’hui, nous vivons l’inverse.
Des pics de repos trop courts… noyés dans un océan de stress chronique.
Et l’ironie, c’est que ce sont nos propres boucles biologiques, nos mécanismes de compensation, nos circuits de vigilance, qui — à force de tourner sans pause — finissent par nous consumer.
On se brûle de l’intérieur.
Par des mécanismes conçus pour nous sauver.
Mais qui n’ont plus jamais l’occasion de s’éteindre.
🔥 Le feu physiologique
Ce feu dont on parle, ce n’est pas une image.
C’est une réalité cellulaire, biochimique, électrique.
Quand le système nerveux tourne en boucle, quand la menace est constante, quand l’environnement devient un champ de bataille...
le corps entre dans ce qu’on appelle l’état allostatique élevé.
Un mode de survie, par défaut.
Mais ce mode n’est pas fait pour durer.
À l’intérieur, le feu s’installe partout.
🥀 Le cortisol grimpe, dégrade les tissus musculaires, épuise les surrénales, et déconnecte l’hippocampe.
💥 L’adrénaline reste haute, mais son efficacité chute. Elle ne vous sauve plus. Elle vous vide.
🌊 La variabilité cardiaque s’effondre. Le cœur devient rigide, saccadé, incapable de s’adapter.
🧬 La production de neurotransmetteurs bascule : plus de glutamate, moins de GABA.
🩸 Le glucose reste élevé. La digestion est paralysée. L’immunité est suspendue.
C’est la biologie du combat ou de la fuite, enclenchée sans fin.
Mais au lieu de courir pour échapper à un danger réel, on court dans sa tête, on court sur son écran, on court contre le temps.
Ce n’est plus une alerte ponctuelle.
C’est un incendie silencieux.
Et il finit par laisser des traces visibles :
— Visage gonflé au réveil, yeux cernés,
— Perte de libido, de mémoire, de patience,
— Problèmes de thyroïde qui explosent,
— Système digestif en lambeaux,
— Selles irrégulières, sommeil fragmenté,
— Douleurs inexpliquées…
Mais si vous dites à votre médecin que vous avez l’impression de brûler de l’intérieur, il vous répondra peut-être :
“C’est le stress.”
Comme si c’était anodin. Comme si c’était gérable.
Non.
Ce n’est pas le “stress”.
C’est un effondrement systémique, lent, progressif, qui sape votre vitalité.
Et il commence dans la cellule, dans la mitochondrie, dans la réponse hormonale, dans la tension électrique de vos nerfs.
Ce n’est pas une fatigue.
C’est une inflammation du vivant.
🛡️Les gardiens de l’équilibre (encore actifs !)
Heureusement… la physiologie n’a pas dit son dernier mot.
Il y a encore des gardiens. Des remparts. Des veilleurs.
Ils n’ont pas disparu.
Ils sont juste noyés sous le vacarme.
🧘 Le système parasympathique.
🌊 Le nerf vague.
🌌 La mélatonine.
⚡ Les peptides réparateurs.
🧪 Le GABA.
🌿 La sérotonine.
💤 Les ondes lentes du sommeil profond.
Tous ces mécanismes ancestraux n’attendent qu’un signal pour reprendre leur place.
Mais tant qu’on les recouvre de lumière bleue, de glucose à 23h, de scroll infini et de caféine à jeun… ils restent muets.
Le corps est prêt à se réparer.
Il veut le faire.
Mais vous ne lui laissez aucune fenêtre d’opportunité.
Le nerf vague, par exemple. Ce fil sacré qui descend du cerveau vers le cœur, les poumons, l’intestin.
Ce n’est pas un gadget new age.
C’est une autoroute de régulation.
Quand il s’active, le système se calme. Le rythme cardiaque ralentit. La digestion s’ouvre. Le système immunitaire sort de son bunker.
Mais il est sensible au silence, au rythme, à la respiration nasale profonde.
Pas aux réunions Zoom et aux notifications bancaires.
La sérotonine, elle, est synthétisée dans l’intestin.
Mais comment voulez-vous qu’un microbiote perturbé par les pesticides, le stress chronique et les repas sur le pouce produise quoi que ce soit de stable ?
Et la mélatonine…
Cette hormone est bien plus qu’un somnifère naturel. C’est un antioxydant mitochondrial, une sentinelle du cerveau, une gardienne du sommeil paradoxal.
Mais sa production est écrasée par la lumière LED après 19h.
Le problème n’est pas un manque de médicaments.
Le problème, c’est un manque de conditions.
Les boucles de guérison sont là.
En veille.
Mais elles attendent un monde qui s’arrête de hurler.
Elles attendent un corps qu’on laisse revenir à ses lois.
Elles attendent… que vous choisissiez de vivre contre-courant.
Constats sans appel, mais…
Oui, c’est vrai.
Le système est contre vous.
L’environnement est chargé, toxique, bruyant, fragmenté.
La biologie est perturbée. L’énergie cellulaire s’effondre. Le cerveau crame.
Et l’âme se demande parfois ce qu’elle fait là.
Mais…
Il y a un mais.
Un espace entre la cause et la réponse.
Un interstice où vous redevenez acteur.
« Le problème bien nommé est déjà à moitié résolu. »
— Charles Kettering
Nommer, c’est reprendre le pouvoir.
Comprendre les mécanismes, c’est reprendre les rênes.
Le monde moderne est un accélérateur.
Un amplificateur.
Un terrain glissant.
Mais vous avez le choix de ralentir.
De restaurer l’espace. De rétablir des marges. De recréer un rythme physiologique là où tout vous pousse à l’urgence.
Il ne s’agit pas de tout fuir.
Il s’agit d’apprendre à vivre en tension… sans imploser.
De restaurer un équilibre électrique dans un monde électromagnétique.
De rétablir une chimie neuronale naturelle sans vous faire happer par le programme.
Car derrière chaque symptôme, chaque fatigue, chaque perte de concentration…
il y a un appel à la cohérence.
Une tentative du corps de vous dire :
« Ce mode de vie n’est pas le mien.
Reviens vers moi. Je sais comment faire. »
💧 L’eau morte, les élites et l’empoisonnement systémique
Il faut le dire clairement :
Ce n’est pas un hasard.
Ce n’est pas juste un enchaînement malheureux de progrès mal calibrés.
C’est un projet.
Un projet d’étouffement des corps et des ames
Un projet de domestication des esprits.
Pendant que certains parlent de “santé publique”, d’autres vous servent une eau contaminée, jour après jour, molécule après molécule, directement à la source.
🧪 Le chlore détruit votre flore intestinale.
🧫 Le fluor attaque votre glande pinéale.
⚠️ Les résidus de médicaments, de contraceptifs, d’antidépresseurs… s’accumulent dans vos humeurs (Liquide intra-cellulaire, liquide extra cellulaire, Sang, Lymphe)
🥶 Les métaux lourds perturbent les mitochondries et ralentissent la conduction nerveuse.
🧬 Les PFAS, les pesticides et les microplastiques infiltrent vos liquides intracellulaires — et s’y installent durablement.
Et personne ne vous prévient.
Parce que pour eux, vous n’êtes qu’un consommateur.
Un corps à gérer. Un dossier à suivre. Un client du système de santé.
De mon côté comme beaucoup d’autres j’essaie de vous prévenir
Vous êtes un être électrique. Un champ de fluides organisés. Une intelligence cellulaire incarnée.
Et cette eau morte — sans structure, sans vibration, sans vitalité — devient un poison lent.
Elle perturbe la signalisation cellulaire, ralentit la lymphe, acidifie les terrains, brouille les membranes.
La lymphe ne circule plus.
Le sang s’épaissit.
Les liquides stagnent.
Et l’organisme devient un marécage interne, propice à l’inflammation, à la fatigue, à la dégénérescence.
Les élites ne boivent pas cette eau.
Eux se fournissent en eaux de source privées.
Eux jeûnent. Filtrent. Supplémentent.
Mais vous ?
On vous vend des carafes en plastique.
On vous fait croire que tout va bien parce que les normes sont “respectées”.
Mais depuis quand le vivant se conforme-t-il à des normes administratives ?
Vous ne pouvez pas vous réparer dans un océan de poisons.
Vous ne pouvez pas être libre en buvant la captivité.
Il est temps de revivifier l’eau.
De restaurer la pureté des liquides.
Parce que dans le corps humain, tout commence par là.
Le terrain. Le milieu. Le plasma. La matrice.
Et si le corps est un temple, l’eau en est le sang sacré.
⚡ Ondes, lumière bleue et excitation mitochondriale : la biologie crame en silence
Je vous l’ai dis à plusieurs reprise et je vous le répètes, le vivant est un organisme électromagnétique avant d’être chimique.
C’est une évidence que la biologie moderne a choisi d’oublier.
Mais vos cellules, elles, s’en souviennent.
Et elles encaissent.
Elles encaissent les radiations.
Elles encaissent les fréquences pulsées.
Elles encaissent la lumière bleue des écrans, des LED, des nuits sans obscurité.
🌐 4G, 5G, Wi-Fi, Bluetooth, Linky, CPL…
Tout cela pulse, sature, bombarde.
Pas besoin d’un four micro-ondes : vous y vivez déjà.
Le terrain est perturbé jusque dans ses gradients :
Les pompes à protons (Complexe IV des mitochondries) dépendent d’un subtil équilibre électrique.
Ce sont ces flux de H⁺ qui génèrent l’ATP, la monnaie de votre énergie vitale.
Mais les ondes perturbent les charges. Modifient la polarisation. Altèrent la respiration cellulaire.
À la clef :
🧨 Moins d’énergie.
🧬 Plus de fuites d’électrons → radicaux libres → peroxynitrites → dégâts oxydatifs.
🧠 Surchauffe neuronale.
💥 Stress oxydatif chronique dans les tissus sensibles (cerveau, testicules, foie, thyroïde).
Et ce n’est pas tout.
La lumière bleue, omniprésente, prolonge l’agression sur un autre plan : celui des cycles.
Elle bloque la sécrétion de mélatonine, cette hormone du repos, de la réparation, de l’immunité et de la longévité.
Elle excite les chromophores cutanés (opsine 3), ce qui active des cascades de calcium intracellulaire → stress inflammatoire diffus.
Elle désynchronise l’horloge centrale (Noyau suprachiasmatique) affectant la libération du cortisol, des hormones sexuelles, de la TSH… tout le système endocrinien.
Vos mitochondries sont surstimulées, surchargées, puis… elles se mettent à fuir.
Et quand la mitochondrie flanche, tout s’écroule.
Pas juste l’énergie. Mais la cohérence du vivant.
Nous ne sommes pas faits pour vivre comme ça.
📱 Pas faits pour avoir un émetteur 4G dans la poche arrière.
🔵 Pas faits pour prendre une lumière bleue toxique dans les yeux à 22h30.
📶 Pas faits pour baigner dans des signaux que la cellule n’a jamais appris à lire.
Nous sommes faits pour :
🌅 Le lever du soleil.
🔥 Le feu de bois.
🌌 Le silence magnétique de la nuit.
🌿 Les fréquences lentes du vent, de la voix humaine, du chant, du tambour.
Ce n’est pas une lubie.
C’est de la biologie de terrain.
Et aujourd’hui, ce terrain est devenu un champ électro-magnétiquement miné.
💫 GABA / Glutamate : l’axe maître du système nerveux
Votre cerveau n’est pas un amas de neurones.
C’est une centrale d’interprétation du monde.
Un chef d’orchestre qui alterne accélérations et silences, flux et pauses, feu et repos.
Mais voilà : on l’a déréglé.
Et ça commence ici, dans l’équilibre fondamental entre deux neurotransmetteurs :
→ Le glutamate, excitateur, moteur, accélérateur.
→ Le GABA, modulateur, pacificateur, contrepoids.
Ensemble, ils forment l’axe primaire du système nerveux central.
Une sorte de yin et yang neurochimique.
Mais dans notre monde moderne ?
Le yin a disparu.
Trop de glutamate = trop de bruit
Le glutamate, en soi, n’est pas un ennemi.
Il est nécessaire pour apprendre, créer, mémoriser, bouger, réagir.
Mais lorsqu’il devient excessif, non recyclé, non tamponné,
il devient toxique.
Il excite les récepteurs NMDA jusqu’à provoquer des avalanches de calcium intracellulaire.
Et ce trop-plein calcique mène à l’excito-toxicité neuronale :
🧨 Stress oxydatif.
🔥 Inflammation cérébrale.
🧬 Apoptose neuronale.
Et là, c’est tout votre système nerveux qui passe en hyper :
— Hypervigilance.
— Hyperémotivité.
— Hyperactivité mentale.
— Hyper-réactivité au moindre bruit, au moindre conflit, à la moindre lumière.
Ajoutez à cela un foie paresseux (surmené par les xénoestrogènes, l’alcool, les médicaments) incapable de dégrader l’excès de glutamate…
Et c’est la tempête dans votre tête.
Trop peu de GABA = plus aucun frein
Le GABA, lui, est la molécule du retour au calme.
Il ralentit l’influx nerveux. Il inhibe les circuits de peur.
Il facilite la digestion, le sommeil, la concentration profonde.
Il est le signal du « c’est bon, tu peux lâcher ».
Mais le problème, c’est que produire du GABA demande… des cofacteurs :
🧬 Magnésium.
🧪 Vitamine B6 (sous forme active P5P).
🧂 Zinc.
🧠 Glutamine transformée efficacement.
Autant de molécules déficitaires chez la plupart des gens aujourd’hui.
Résultat : vous avez l’impression d’être “à cran” tout le temps.
Vous ne supportez plus les imprévus, le bruit, la lumière, même les émotions positives sont épuisantes.
Vous êtes en mode glutamate, sans plus aucun contrepoids GABAergique.
Ce n’est pas de la fragilité psychologique.
C’est une dysbiochimie cérébrale.
Une urgence neurologique travestie en trouble comportemental.
🎯 Restaurer cet équilibre, ce n’est pas optionnel.
C’est fondamental si vous voulez sortir du burn-out, de l’hyperstimulation, du dérèglement nerveux chronique.
Avant de parler de développement personnel, de mindset ou de volonté…
Commencez par ça.
L’axe GABA / Glutamate est votre système de frein / accélérateur intérieur.
Et vous ne traverserez aucune tempête sans qu’il soit aligné, nourri, soutenu.
🔒 CONTENU PREMIUM
Si tu veux comprendre comment restaurer ton système nerveux, calmer l’incendie intérieur et retrouver ton énergie, la suite t’explique le protocole complet et les rituels de régulation.
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Le protocole anti-burst : GABA, taurine, glycine et le retour à la paix physiologique.
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