Et si tout venait de là ? Le système que la médecine moderne ignore (encore)
Il module la douleur, l’adaptation, la plasticité cérébrale et la mémoire cellulaire. Tu ne peux pas prétendre au retour de la vitalité sans lui.
Trump a publié ça cette semaine Je vous laisse regarder je développe juste après juste après :
Alors voilà.
J’ai tenté de publier ce post sur X au moment même de sa parution.
Résultat : post censuré instantanément par l’algorithme “bienveillant” de X France.
Tu sais, celui qui te protège… de la vérité.
Mais justement : ce que tu t’apprêtes à lire, ils préfèrent que tu ne le saches pas.
Parce que si tu comprends ce qu’est réellement le système endocannabinoïde,
si tu saisis à quel point il est central dans la régulation du vivant,
alors le reste s’éclaire.
Le cancer, le stress, la douleur, la dépression, l’immunité.
Tout devient plus simple.
Et surtout : plus accessible.
Ce post est un post certes techniques que j’ai essayé de vulgariser. Je tente de vous donner des clés pour équilibrer ce fameux systèmes. Il y à également des mots clés sur lesquels je vous invite à rebondir au travers de vos recherches personnelles mais aussi dans les commentaires si vous vous reconnaissez dans la description qui en est faite.
Le système endocannabinoïde est crucial pour des processus comme la réponse au stress, l’humeur, le sommeil, l’appétit, la douleur, l’inflammation et même la neuroplasticité.
La dépression majeure, le trouble anxieux généralisé et le trouble de stress post-traumatique (TSPT), par exemple, ont été liés à de faibles niveaux d’endocannabinoïdes ou à un dysfonctionnement du système endocannabinoïde (ECS).
Il se compose de trois éléments principaux :
Les endocannabinoïdes
Ce sont des composés naturellement produits par le corps qui ressemblent aux cannabinoïdes trouvés dans le cannabis.
Les deux principaux endocannabinoïdes sont :
Anandamide : Souvent appelée la “molécule du bonheur” (dérivée du mot sanskrit ananda, qui signifie bonheur), l’anandamide se lie aux récepteurs cannabinoïdes et a des effets similaires au tétrahydrocannabinol (THC), le composé psychoactif du cannabis.
2-Arachidonoylglycérol (2-AG) : Cet endocannabinoïde se lie également aux récepteurs cannabinoïdes et a des effets comparables au cannabidiol (CBD), un composé non psychoactif du cannabis.
Les récepteurs cannabinoïdes
Ce sont les “serrures” auxquelles se lient les endocannabinoïdes et les cannabinoïdes d’origine végétale (phytocannabinoïdes), déclenchant diverses réponses physiologiques.
Les deux principaux récepteurs sont :
Récepteurs CB1 : Principalement situés dans le cerveau et le système nerveux central, les récepteurs CB1 influencent des neurotransmetteurs comme le GABA, le glutamate, la dopamine et la sérotonine, affectant l’humeur, la mémoire, l’appétit et la perception de la douleur.
Récepteurs CB2 : Principalement situés dans le système immunitaire, les tissus périphériques et certaines zones du cerveau, les récepteurs CB2 sont surtout impliqués dans la régulation de l’inflammation et des réponses immunitaires.
Les enzymes
Elles dégradent les endocannabinoïdes après qu’ils ont rempli leur fonction.
Les enzymes clés sont :
Fatty Acid Amide Hydrolase (FAAH) : Dégrade l’anandamide.
Monoacylglycerol Lipase (MAGL) : Dégrade le 2-AG.
On va zoomer sur tout ça c’est important :
I] - “Le système oublié : l’orchestration silencieuse du vivant”
“Ce n’est ni une glande, ni un organe.
Ce n’est pas enseigné en fac de médecine.
Et pourtant, il est partout.
Il observe, module, synchronise.
C’est l’ombre qui maintient l’équilibre dans la lumière.”
Le système endocannabinoïde (ECS) est une toile invisible.
Un réseau bioélectrique tissé dans chaque recoin du vivant.
Ni hormone, ni neurotransmetteur, il les influence tous.
Il est le régulateur de l’homéostasie, cette danse fragile entre trop et pas assez et surtout il est intimement lié à l’allostasie. Je t‘invite à lire l’article que j’ai rédigé à ce sujet si tu ne vois pas ce que c’est.
Tu respires ? Il ajuste.
Tu as faim ? Il t’informe.
Tu dors ? Il te régénère.
Tu souffres ? Il module le signal.
Et pourtant, combien savent qu’il existe ?
Découvert dans les années 1990 seulement, l’ECS est le chef d’orchestre du vivant moderne.
Un modulateur maître, un système rétroactif capable d’équilibrer le feu (inflammation), le vent (système nerveux), et la terre (système hormonal).
Il relie entre elles des structures que la médecine moderne a séparées par spécialité :
cerveau, intestin, peau, mitochondries, glandes sexuelles, immunité.
“Tu veux comprendre pourquoi le stress chronique te rend malade ?
Pourquoi l’inflammation devient permanente ?
Pourquoi tu ne récupères plus ?
Commence par réactiver ce réseau oublié.”
Dans les parties qui suivent, tu découvriras :
Les molécules de bonheur produites par ton corps et détruites en silence
Les verrous biochimiques qui bloquent ton humeur et ta mémoire
Les hacks physiologiques pour restaurer le signal : froid, soleil, chocolat, testostérone
Les parasites silencieux qui coupent le courant : stress chronique, acides gras oxydés, perturbateurs endocriniens
Les synergies naturelles entre ECS, BDNF, dopamine, GABA, système vagal
II] - Qu’est-ce que le système endocannabinoïde ?
🧬 “L’architecte moléculaire de l’équilibre intérieur”
Le système endocannabinoïde — ECS pour EndoCannabinoid System — n’est pas une simple fonction biologique.
C’est une architecture distribuée, à la fois chimique, électrique et adaptative, présente dans quasiment tous les tissus du corps humain.
Son rôle ?
Ajuster en temps réel l’ensemble des processus vitaux pour maintenir ce que la biologie appelle l’homéostasie :
➡️ L’équilibre dynamique qui permet à un organisme de rester vivant face au changement.
Un système adaptatif et rétroactif
L’ECS agit en retour, à la manière d’un thermostat moléculaire.
Quand il y a trop de cortisol, il module la réponse.
Quand l’inflammation devient chronique, il l’apaise.
Quand le système nerveux est en surcharge, il restaure le calme.
Quand la douleur devient souffrance, il filtre le signal.
Quand tu jeûnes, il t’aide à mobiliser l’énergie.
Ce n’est pas un effet. C’est un méta-effet.
Ce n’est pas un organe. C’est une logique systémique.
Où agit l’ECS ?
Il est littéralement partout :
Il agit comme une matrice unificatrice entre tous les autres systèmes biologiques.
Un système transversal. Régulateur. Intelligent. Auto-adaptatif.
Interconnexion avec les autres systèmes
Ce que la médecine moderne segmente, l’ECS connecte :
Avec le système nerveux : il module GABA, dopamine, glutamate, noradrénaline
Avec le système immunitaire : il empêche l’hyper-inflammation et la suractivation immunitaire
Avec le système hormonal : il est influencé par les androgènes et les œstrogènes, et régule l’axe HHS (hypothalamo-hypophyso-surrénalien)
“Tu n’équilibres pas les hormones sans parler d’ECS.
Tu ne régules pas le stress sans lui non plus.
Et tu ne dors pas bien si ce système est en panne.”
Quand il dysfonctionne…
Le chaos s’installe :
Dépression chronique
Anxiété généralisée
Douleurs inflammatoires persistantes
Insomnie
Fatigue inexpliquée
Hyperphagie ou perte d’appétit
Trouble de l’attention, neurodégénérescence précoce
Et pourtant, on ne le teste jamais en médecine classique.
Il n’existe aucun marqueur simple, aucun dosage remboursé.
Ce système fondamental est invisible dans les bilans traditionnels.
“Ce n’est pas un manque de sérotonine.
C’est un effondrement du courant qui relie les systèmes.
C’est une panne d’orchestrateur.”
Zoomons sur les principes de fonctionnement et son interaction entre allostasie et homéostasie :
III] - ECS : entre homéostasie et allostasie
“Le gardien et le navigateur”
L’ECS n’est pas qu’un gardien de l’équilibre interne.
C’est aussi un navigateur de l’adaptation.
C’est la clé qui relie deux concepts fondamentaux de la biologie humaine :
ECS & Homéostasie : le rôle du gardien
Ajuste après coup les déséquilibres (comme un thermostat)
Stabilise la douleur, l’appétit, la température, la réponse immunitaire
Restaure les niveaux “normaux” après un stress ponctuel
Règle l’intensité d’un signal (trop de glutamate ? il met du GABA)
Ici, l’ECS est une “main douce” qui ramène au centre.
ECS & Allostasie : le rôle du navigateur
Ajuste en amont : anticipe les besoins futurs en fonction du contexte
Orchestre la réponse au stress, le remodelage synaptique, l’adaptation immunitaire
Permet d’endurer un jeûne, un entraînement, une menace prolongée sans effondrement
Module l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien pour que l’organisme réponde sans dérive hormonale
Ici, l’ECS est une “main ferme” qui guide la trajectoire.
Quand l’ECS faiblit…
Homéostasie : perte de l’équilibre instantané → insomnie, douleur, appétit erratique
Allostasie : incapacité à s’adapter → charge allostatique, burn-out, inflammation chronique, immunité défaillante
L’ECS n’est donc pas un système de confort, mais un système d’adaptation.
C’est le pont entre l’équilibre et le changement.
Le système qui rétablit et prépare à la fois.
“Sans ECS fonctionnel, l’homéostasie est fragile et l’allostasie devient toxique.
Avec un ECS robuste, l’homéostasie est fluide et l’allostasie est une force d’évolution.”
IV] - Anandamide & 2-AG : Les messagers de la résilience
🧬 “Les molécules de l’adaptation et du lien intérieur”
“Certains signaux crient.
D’autres chuchotent.
Les endocannabinoïdes murmurent aux cellules comment rester vivantes.”
Deux molécules, une mission : l’équilibre adaptatif
Le système endocannabinoïde repose sur deux molécules endogènes — créées par ton propre corps — qui jouent un rôle de médiateur instantané entre les systèmes.
Ce ne sont ni des hormones classiques, ni des neurotransmetteurs standards.
Ce sont des messagers lipidiques à action rétroactive :
ils sont libérés en réponse à un besoin, agissent localement et rapidement, puis sont immédiatement dégradés.
Ils sont les acteurs de terrain de l’homéostasie et les modulateurs actifs de l’allostasie.
Anandamide : la molécule du “bliss”
🔬 N-acyléthanolamine découverte en 1992
📜 Son nom vient du sanskrit ananda = félicité, paix intérieure
🔐 Elle se lie surtout au récepteur CB1
Rôle physiologique :
Réduit la douleur
Induit une sensation de calme, de satiété, de sérénité
Participe à la régulation de l’humeur (effet antidépresseur naturel)
Module le sommeil profond
Influence l’ovulation et la fécondation chez la femme
“L’anandamide, c’est la molécule du moment présent.
Elle ne dure que quelques secondes.
Elle n’excite pas. Elle adoucit.”
2-AG (2-Arachidonoylglycérol) : le modulateur universel
🔬 Découvert en 1995
📈 En concentration, il est 100 à 1000 fois plus abondant qu’anandamide
🔐 Se lie à CB1 et CB2, donc agit à la fois dans le cerveau et le système immunitaire
Rôle physiologique :
Régule l’inflammation de bas grade
Module la réponse au stress
Influence la neurogenèse et la plasticité neuronale
Intervient dans la régulation de l’appétit et du métabolisme
Agit comme un frein sur l’excitation neuronale excessive
Leur logique : libération sur demande
Contrairement aux hormones qui circulent librement dans le sang, les endocannabinoïdes sont produits “à la carte”, là où il y a un déséquilibre.
Un stress ➝ libération locale
Une douleur ➝ activation ciblée
Un trauma ➝ réponse anti-inflammatoire du terrain
Ils sont fabriqués à partir de la membrane de tes propres cellules.
Et plus précisément, des phospholipides riches en acide arachidonique.
Si tes membranes cellulaires sont fragilisées, oxydées, carencées en oméga-3…
➝ tu ne peux plus bien fabriquer d’anandamide ou de 2-AG.
En résumé
“Ces deux messagers sont les gardiens invisibles de ta stabilité intérieure.
Mais aussi les médiateurs de ton pouvoir d’adaptation.
Ils te permettent d’encaisser… sans casser.”
V] - CB1 & CB2 : Les serrures du vivant
🧬 “Ce que le corps écoute, il le transforme”
“Les endocannabinoïdes ne commandent rien.
Ils proposent.
Et ce sont les récepteurs qui décident.”
Le système endocannabinoïde repose sur une logique clé-serrure.
Les messagers (anandamide, 2-AG) sont les clés biologiques.
Les récepteurs CB1 et CB2, les serrures électrochimiques.
Et ce qui se passe après leur activation détermine :
➡️ si tu ressens de la douleur ou du soulagement
➡️ si ton inflammation s’éteint ou s’emballe
➡️ si ton esprit est calme ou agité
➡️ si ton corps s’adapte ou s’effondre
CB1 : Le récepteur de l’équilibre neurologique
📍 Localisation :
Principalement dans le cerveau et la moelle épinière
Aussi présent dans le foie, le cœur, les testicules/ovaires, les intestins
🎯 Fonctions :
Module les neurotransmetteurs majeurs (GABA, dopamine, glutamate, sérotonine)
Régule la mémoire émotionnelle, l’appétit, le sommeil, la motricité, la perception de la douleur
Joue un rôle central dans les états de conscience (relaxation, euphorie, vigilance)
🧠 Particularité :
CB1 est le récepteur le plus abondant dans le cerveau de tous les récepteurs connus à ce jour.
“Ce n’est pas un détail. C’est une autoroute.”
CB2 : Le récepteur de la régulation immunitaire
📍 Localisation :
Principalement dans le système immunitaire (rate, thymus, ganglions)
Présent dans la peau, les os, la rate, le cerveau (en moindre quantité)
🎯 Fonctions :
Régule la réponse inflammatoire
Joue un rôle dans la guérison tissulaire, la réparation cellulaire, la tolérance immunitaire
Impliqué dans les maladies auto-immunes, neurodégénératives, et les douleurs chroniques
🧠 Particularité :
CB2 agit comme un frein intelligent de l’inflammation : il ne l’éteint pas, il l’optimise.
“Le CB1 t’apaise. Le CB2 te protège.”
Bonus : Densité, sensibilité et plasticité
La densité des récepteurs CB1 et CB2 n’est pas fixe.
Elle s’ajuste en fonction de ton mode de vie :
Plus tu t’exposes au soleil, plus tu renforces CB1
Plus tu gères ton stress, plus tu restaures la plasticité CB1
Plus tu fais de l’exercice ou t’exposes au froid, plus tu stimules CB2
Mais à l’inverse :
Le stress chronique, les régimes inflammatoires, les pesticides, désensibilisent les récepteurs
Une hyperstimulation sans pause (THC chronique, perturbateurs endocriniens) → tolérance, perte d’efficacité
“Le secret n’est pas de forcer la serrure.
C’est de restaurer la clé… et la porte.”
VI] - FAAH & MAGL : Les saboteurs silencieux
🧬 “Le signal naît… puis meurt. Et parfois, trop vite.”
“On parle beaucoup des messagers.
Mais rarement de ceux qui les font taire.
Or, c’est là que commence l’épuisement.”
Dans le système endocannabinoïde, chaque molécule a une fonction.
Et chaque fonction a une durée.
Anandamide et 2-AG ne sont pas censés rester longtemps en circulation.
Ils n’envoient leur message qu’une fois, puis ils doivent être dégradés pour éviter les surstimulations.
Mais dans un organisme fragilisé, ces enzymes deviennent des saboteurs.
Ils détruisent le message avant qu’il ne soit entendu.
Les 2 grandes enzymes du système ECS :
FAAH : le broyeur de félicité
L’anandamide est une molécule précieuse.
Mais elle est aussi extrêmement fragile, avec une demi-vie de quelques secondes.
La FAAH, une enzyme hydrolase, la découpe rapidement en acide arachidonique et éthanolamine.
Résultat : la paix intérieure n’a même pas le temps de s’installer.
Tu vis “en surface”, incapable de rester en détente, même au calme.
FAAH est sensible au stress, aux métaux lourds, aux pesticides, et à certains déséquilibres hormonaux.
Elle peut être trop active chez les personnes anxieuses, insomniaques, dépressives, ou en burn-out.
MAGL : l’éteignoir de la résilience
Le 2-AG est plus abondant, mais aussi plus vulnérable à une dégradation prématurée.
La MAGL, son enzyme cible, régule le “tonus” endocannabinoïde dans le cerveau et les tissus périphériques.
Une activité excessive de MAGL est liée à :
Hyperinflammation
Douleurs chroniques
Altération de la mémoire
Sensibilité au stress
Dépression neuroinflammatoire
Enzymes trop actives = signal endogène trop faible
Tu peux produire de l’anandamide.
Mais si FAAH est trop active…
Tu ne le ressens pas.Tu peux sécréter du 2-AG.
Mais si MAGL fait le ménage en continu…
Tu restes coincé dans la boucle inflammatoire.
C’est un peu comme produire de la musique…
…mais que quelqu’un baisse le volume dès la première note.
Comment freiner FAAH & MAGL naturellement ?
Certains composés permettent de ralentir ces enzymes et de prolonger l’effet des endocannabinoïdes.
“Ce n’est pas une question de produire plus.
C’est une question de laisser le message vivre assez longtemps pour agir.”
Focus terrain : le stress chronique active FAAH
Lorsque tu es sous stress prolongé, ton corps active les voies du cortisol, mais aussi l’activité de FAAH.
Autrement dit :
➡️ Tu vis un stress.
➡️ Tu aurais besoin d’anandamide.
➡️ Mais ton propre système le détruit prématurément.
C’est un paradoxe physiologique classique du burn-out ou de l’anxiété chronique.
“Ceux qui ont le plus besoin de calme… en détruisent les messagers.”
VII] - Le chaos silencieux : quand l’ECS s’effondre
🧬 “Ce que tu ne ressens plus... te détruit quand même.”
“Ce n’est pas un virus.
Ce n’est pas une carence.
C’est un système qui a arrêté de parler aux autres.”
Quand le système endocannabinoïde perd sa capacité à réguler, à synchroniser, à calmer, le corps entre dans une spirale de désorganisation silencieuse.
Rien ne saute aux yeux au départ.
Mais les symptômes se cumulent.
Et ce qui devrait être régulé devient amplifié.
Symptômes d’un ECS affaibli ou déséquilibré :
Quand la régulation devient surcharge
Un ECS altéré, c’est :
Une allostasie devenue charge : l’organisme continue à encaisser… mais au prix d’une dette énergétique, hormonale et immunitaire.
Un effondrement de la plasticité cérébrale : moins de neurogenèse, rigidité émotionnelle, pertes cognitives progressives
Un cercle vicieux inflammatoire : la boucle ECS ↔ immunité ↔ inflammation s’auto-alimente
Une perte du ressenti corporel fin : tu ne sais plus ce dont tu as vraiment besoin — repos ? action ? jeûne ? nourriture ? lien ?
“L’ECS, c’est le chef d’orchestre du vivant.
Quand il se tait, chaque section joue sa propre partition.
Et la symphonie devient cacophonie.”
Maladies associées à un déficit du système endocannabinoïde
🧬 Hypothèse du “clinical endocannabinoid deficiency” (CED)
Proposée par le Dr Ethan Russo, cette théorie postule que plusieurs troubles chroniques dépourvus de cause claire pourraient être dus à un déficit endocannabinoïde sous-jacent.
✔️ Dépression majeure
✔️ Trouble anxieux généralisé
✔️ TSPT (syndrome de stress post-traumatique)
✔️ Migraines chroniques
✔️ Fibromyalgie
✔️ Endométriose
✔️ Maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer)
✔️ Colopathie fonctionnelle (SII)
Les biomarqueurs invisibles
➡️ Il n’existe pas, à ce jour, de test sanguin simple pour évaluer l’ECS.
➡️ Les taux plasmatiques d’anandamide ou de 2-AG sont instables et peu représentatifs du terrain fonctionnel.
➡️ La seule vraie évaluation, c’est le ressenti couplé à l’observation terrain :
Comment tu dors ?
Comment tu récupères ?
As-tu faim de manière cohérente ?
Comment gères-tu l’imprévu ?
Ta douleur est-elle modulable ?
Te sens-tu vivant… ou simplement “pas malade” ?
“Le vivant ne se mesure pas toujours.
Mais il s’écoute. Et l’ECS en est la fréquence de fond.”
Tu te reconnais dans ce portrait ?
Tu dors mal, tu récupères mal, tu encaisses mais tu t’éteins lentement ?
Et si ton corps n’avait pas cessé de produire… mais qu’il avait juste perdu sa capacité à écouter ?
Ce que je vais te révéler maintenant, ce sont les leviers précis :
ce que tu dois restaurer, ce que tu dois éviter, ce que tu peux activer dès aujourd’hui
— pour réveiller ton ECS, et avec lui, toute ton intelligence adaptative.
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