Déserter le champ de bataille, cultiver le terrain — La vraie clé de la vitalité
Du mythe du germe à la renaissance du terrain — réconcilier science, tradition et autonomie
1🌱 Le Terrain : Redéfinir la Santé
Si vous deviez retenir une seule chose aujourd’hui, c’est celle-ci : la santé ne se réduit pas à l’absence de microbes, mais à la cohérence globale de votre terrain.
Un concept souvent galvaudé, rarement compris, et presque toujours ignoré par la médecine dominante.
Mais qu’est-ce que ce fameux terrain ?
C’est l’état total de votre être, l’ensemble vivant, fluide, interactif qui fait de vous un organisme unique — bien plus qu’une addition d’organes ou de molécules.
Le terrain, c’est :
Vos apports biologiques : la qualité de votre alimentation, des minéraux, de l’eau que vous absorbez chaque jour.
L’électromagnétisme : l’exposition à la lumière solaire, la connexion à la terre, l’impact des champs (naturels ou artificiels).
Votre système nerveux et votre monde émotionnel : le stress que vous portez, les traumatismes que vous avez traversés, la cohérence intérieure que vous cultivez.
Vos racines : les schémas ancestraux et épigénétiques qui colorent votre biologie.
L’environnement : la qualité de l’air, la charge toxique, le bain d’ondes électromagnétiques dans lequel vous évoluez.
La santé, ce n’est pas le fruit du hasard ni le résultat d’une protection “par défaut” contre un ennemi extérieur.
C’est un état de cohérence dynamique : chaque élément du terrain résonne, s’équilibre ou se dérègle selon l’ensemble du contexte.
Quand tout s’aligne, la vitalité s’exprime.
Quand une seule pièce du puzzle s’effondre, c’est toute la structure qui vacille.
Et non, ce n’est pas une théorie de plus : c’est la réalité du vivant, que Claude Bernard avait déjà résumée en 1865 :
« C’est le milieu intérieur qui maintient la santé. »
2 ⚔️ Vitalisme vs Mécanisme
Deux visions du vivant se sont affrontées, et ce duel structure encore tout ce que vous vivez aujourd’hui — même si, la plupart du temps, il agit dans l’ombre.
Le vitalisme, c’est la conviction que la vie est animée par une intelligence profonde, une force d’organisation, un rythme, une cohérence qui échappent à toute tentative de réduction mécanique.
Le corps ? Un champ vivant, traversé d’ondes, de cycles, de mémoires.
C’est la compréhension que l’homme n’est pas une machine, mais une symphonie : chaque cellule joue sa partition, chaque signal circule et s’ajuste, chaque déséquilibre se cherche et se corrige — tant que le terrain vibre juste.
Le mécanisme, lui, est venu imposer une autre vision.
La vie n’est plus qu’un engrenage : un assemblage de pièces détachées, de molécules, de réactions chimiques programmées.
Le corps ? Un objet décomposable, analysable, réparable à coups de pièces de rechange et de molécules de synthèse.
Mais ce n’est pas la supériorité scientifique qui a fait triompher le mécanisme sur le vitalisme.
C’est l’industrie.
Parce que ce qui est mesurable se monnaie, ce qui est standardisable se brevète, ce qui est prévisible se contrôle.
Une vision du vivant taillée pour le marché, pas pour la vie.
Le vitalisme était imprévisible, impossible à enfermer dans un brevet.
Le mécanisme, lui, offrait un ticket d’entrée sur le grand marché du médicament, de la chirurgie, du protocole industriel.
L’industrie n’a jamais “prouvé” le mécanisme.
Elle l’a choisi.
Parce qu’il est plus facile — et infiniment plus rentable — de vendre une pilule, une opération, ou une molécule standardisée, que d’honorer l’intelligence du vivant.
La médecine moderne n’a pas suivi la vérité du terrain.
Elle a suivi la route la plus monétisable.
3 🦠 Béchamp vs Pasteur
Deux hommes. Deux visions du vivant.
L’un, Antoine Béchamp, observe :
« Le microbe n’est rien. Le terrain est tout. »
Pour lui, la maladie n’est jamais le fruit du hasard ou d’une agression extérieure isolée.
Tout dépend du contexte : pourquoi tel individu s’effondre, quand son voisin reste debout ?
Ce n’est pas le germe qui fait le destin, c’est la qualité du terrain.
En face, Louis Pasteur simplifie tout :
Les germes causent la maladie.
Point final.
Le corps devient champ de bataille, le microbe, ennemi à abattre, et le patient, une victime potentielle à sauver coûte que coûte.
Béchamp questionne, nuance, cherche la logique du vivant dans la complexité :
Pourquoi certains résistent-ils, alors que d’autres tombent ?
Le terrain, dit-il, explique tout.
Pasteur, lui, préfère l’histoire simple, dramatique, facile à raconter… et à vendre.
C’est là que tout bascule.
Car une guerre contre l’ennemi invisible permet de mobiliser, d’angoisser, de prescrire et de vacciner.
Le récit du “méchant germe” est un marché.
Celui du terrain, un appel à la responsabilité et à la compréhension.
Ironie ultime : sur son lit de mort, Pasteur lui-même l’a reconnu —
« Bernard avait raison. Le microbe n’est rien, le terrain est tout. »
Mais l’Histoire ne retient pas la vérité du terrain.
Elle préfère le mythe du germe, parce qu’il permet de vendre.
Le terrain, lui, ne rapporte rien…
Et dans ce choix commercial, c’est l’humanité entière qui a perdu le fil de sa propre vitalité.
4 💰 La Capture Rockefeller
Le XXᵉ siècle commence à peine. L’Amérique s’industrialise, l’argent change la face du monde.
Deux noms dominent : Rockefeller et Carnegie.
Deux empires qui flairent très vite un filon colossal : la santé va devenir le marché du siècle… à condition d’écrire les règles du jeu.
Le rapport Flexner tombe comme une sentence.
C’est la fin des écoles d’herboristerie, de naturopathie, d’homéopathie, de toutes ces médecines “éclectiques” qui prenaient encore en compte le terrain, l’alimentation, l’hygiène de vie.
Il ne restera qu’une seule voie : la médecine chimique, “scientifique”, axée sur les médicaments et la chirurgie.
Le terrain, tout à coup, devient suspect.
On le range au rayon des vieilleries, on l’assimile à de la superstition, à des pratiques “non-scientifiques”.
Désormais, seule compte la guerre contre les germes, menée à coup de molécules de synthèse et d’interventions spectaculaires.
Pourquoi ? Parce qu’un médicament, une opération, ça se vend. Ça se standardise.
Un terrain équilibré, lui, ne s’achète ni ne se brevète.
On ne peut pas mettre la cohérence du vivant en flacon.
Le rapport Flexner acte cette mutation :
« Toutes les écoles d’éclectisme ou d’homéopathie doivent être éliminées, sauf de très rares exceptions. »
Ce n’est pas l’échec du terrain qui explique sa disparition.
C’est son incapacité à générer du profit pour les nouveaux maîtres du jeu.
C’est là, en silence, que la médecine du terrain a été effacée du paysage.
Pas parce qu’elle n’était pas efficace. Mais parce qu’elle ne rentrait pas dans les cases du capitalisme médical.
5 ☣️ Ce que signifie vraiment le terrain
Il est temps de briser le cliché.
Non, le terrain n’est pas juste une question “d’environnement intérieur”. Ce n’est pas une abstraction floue ni une théorie new-age.
Le terrain, c’est la totalité de l’être.
C’est la somme de tout ce qui fait de vous un organisme vivant :
Vos cellules, dans leur structure et leur fonctionnement.
Votre exposition à la lumière — naturelle ou artificielle — qui calibre chaque rythme biologique.
L’eau qui vous compose, et dont la structure influence la bioélectricité interne.
Les minéraux qui orchestrent la conduction, les réactions enzymatiques, l’équilibre acido-basique.
Le rythme, la charge et la cohérence de votre système nerveux : tout ce que vous ressentez, traînez, traversez.
Les schémas épigénétiques qui vous relient à vos ancêtres.
Le bain électromagnétique où vous baignez, jour après jour.
La maladie n’est pas une invasion extérieure.
C’est une interférence, une rupture dans ce tissu vivant, ce dialogue permanent entre vos cellules et l’ensemble de votre environnement.
La santé n’a rien à voir avec la chance.
C’est une dynamique de cohérence : quand tout vibre juste, tout circule, tout s’auto-régule.
Dès qu’un paramètre se brouille, c’est tout le système qui s’enraye.
C’est là la révolution :
Vous n’êtes pas qu’un réceptacle à microbes, un automate exposé au hasard.
Vous êtes un écosystème intelligent, vivant, capable de s’ajuster, de s’adapter, de s’auto-réparer… à condition que le terrain soit nourri, respecté, compris.
Oubliez l’idée d’un “combat” contre le monde extérieur.
La vraie bataille se joue toujours à l’intérieur : c’est la qualité de votre terrain qui décide du reste.
6 ⚡ Le langage du terrain
Le terrain n’est pas muet.
Il s’exprime, il communique, il ajuste chaque paramètre de votre biologie par une multitude de signaux subtils et puissants.
C’est un langage que la médecine moderne a oublié d’écouter.
La lumière, avant tout.
Elle calibre le rythme circadien, oriente la production hormonale, module les neurotransmetteurs.
Une simple exposition matinale au soleil suffit à reprogrammer l’horloge biologique, à régénérer l’énergie, à calmer l’inflammation.
L’eau, ce n’est pas qu’un solvant neutre :
Dans chaque cellule, elle se structure en véritables réservoirs de charges, elle stocke, transporte et transmet l’information bioélectrique.
Boire de l’eau vivante, dynamisée, c’est recharger ses batteries internes.
Les minéraux ne sont pas des détails :
Ils portent la conductivité, ils activent les enzymes, ils règlent le voltage cellulaire.
Un déficit, et c’est toute la symphonie intérieure qui se met à grésiller.
Le rythme — sommeil, jeûne, saisons —
aligne le métabolisme et les processus de réparation.
Brisez le rythme, et tout s’effondre : hormones, immunité, énergie.
Les champs — électromagnétiques, émotionnels, vibratoires —
accordent ou brouillent la cohérence du terrain.
Les ondes naturelles apaisent et régulent.
Le “bruit de fond” artificiel génère, au contraire, de la dissonance, de l’inflammation, de la confusion physiologique.
Voilà le vrai système d’exploitation de la biologie :
Un dialogue permanent entre lumière, eau, minéraux, rythmes, champs.
Pas une guerre contre le germe.
Une symphonie subtile, à orchestrer, pas à dominer.
7 🔥 Effondrement = Maladie
La maladie n’est jamais un hasard.
Elle n’est pas la punition d’un sort aveugle, ni le fruit d’un simple “mauvais coup du destin”.
C’est le signe visible d’un terrain qui s’effondre, d’un équilibre subtil qui se brise.
Tout commence par des interférences silencieuses :
Une lumière artificielle qui dérègle le rythme circadien, désynchronise le sommeil, plonge l’humeur dans l’apathie ou la dépression, perturbe le système hormonal.
Des huiles industrielles et raffinées qui s’accumulent dans les membranes, encrassent les mitochondries, sabotent la production d’énergie : obésité, inflammation, fatigue chronique, cancer.
Une eau “morte”, sans structure, qui ne parvient plus à hydrater les cellules : le brouillard mental, la fatigue, la lente déshydratation invisible.
Une carence minérale, et c’est tout le fonctionnement enzymatique qui flanche, l’ADN qui devient instable, les processus vitaux qui s’enrayent.
Un excès de stress, un trauma non digéré : le système nerveux sature, l’immunité s’auto-détruit, les maladies auto-immunes explosent.
Ce ne sont pas des “maladies” au sens classique du terme, ce sont les étiquettes que la médecine colle sur les symptômes d’un terrain en crise.
Le vrai diagnostic ?
C’est toujours une perte de cohérence, une symphonie qui s’effondre note après note.
Changer le nom du déséquilibre ne change rien à la racine du problème.
Claude Bernard, déjà en 1872, le répétait :
“L’état du terrain est plus important que le germe.”
Tout le reste n’est que conséquence.
8 ⚠️ L’arme du langage
Pourquoi persister à parler de “théorie du terrain” ?
Parce que dans notre société, ajouter le mot “théorie”, c’est reléguer une réalité gênante au rang de spéculation, de fantaisie intellectuelle, de sujet de débat pour marginaux.
Pourtant, il suffit d’ouvrir les yeux et d’écouter son corps pour voir que le terrain n’a rien d’une hypothèse abstraite.
C’est une expérience vécue, tangible, accessible à tous.
La lumière du soleil modifie votre humeur en quelques minutes.
L’ancrage à la terre calme votre système nerveux, apaise l’inflammation.
Une alimentation riche en minéraux vous redonne de l’énergie, de la clarté mentale.
Un rythme de sommeil respecté régénère bien plus que n’importe quelle pilule.
Tout cela n’est pas “théorique”.
C’est du ressenti.
C’est de la physiologie vécue.
C’est la réalité du terrain, que chacun peut expérimenter, sans diplôme, sans ordonnance, sans validation extérieure.
Mais à force de nommer “théorie” ce qui dérange l’ordre établi, on entretient la confusion : on fait passer la biologie du vivant pour une croyance, alors qu’elle est simplement… la Vie.
La vérité du terrain ne se discute pas, elle se vit.
C’est là toute la différence.
9🕯️ L’économie de la distraction
Effacez le terrain… et c’est toute une économie qui surgit.
Un marché du manque, de la peur, de la dépendance organisée.
L’industrie pharmaceutique vend des pilules pour “combattre les envahisseurs”.
Le business du bien-être propose des poudres miracles pour “optimiser” un terrain… qu’on ne vous a jamais appris à comprendre.
Les biohackers inondent les réseaux de gadgets pour “surveiller”, “tracker”, “hacker” un organisme dont la cohérence de base est déjà oubliée.
Tout cela n’est qu’un commerce savamment orchestré.
Un cercle sans fin où chaque symptôme appelle une solution extérieure, chaque trouble devient une opportunité de marché, chaque anxiété, un abonnement mensuel de plus.
Car voilà le vrai scandale :
Si votre terrain est cohérent, vous n’avez plus besoin d’eux.
Vous retrouvez votre souveraineté, votre autonomie, votre capacité à sentir, à prévenir, à guérir.
Et ça, c’est le cauchemar des industries du chaos :
Un humain qui n’a plus besoin de consommer, c’est un marché qui s’effondre.
Ce n’est pas une théorie du complot, c’est la simple observation des flux financiers et de la logique du système.
La distraction perpétuelle, c’est l’assurance-vie du business moderne.
C’est pourquoi ils vous éloignent du terrain, à chaque étape.
Leur survie dépend de votre ignorance.
10 🌍 Le retour du vitalisme
Le vitalisme n’a jamais été “débunké”.
Il a simplement été effacé, censuré, balayé sous le tapis par une époque qui avait besoin de simplifier, de contrôler, de rentabiliser le vivant.
Mais il n’a jamais disparu.
Il attend, en silence, que chacun se reconnecte à l’intelligence du vivant.
Revenir au vitalisme, ce n’est pas tourner le dos à la science.
C’est retrouver la science du vivant.
Celle qui sait que la vie ne se résume pas à la chimie, mais qu’elle orchestre une symphonie de signaux, d’informations, de résonances — bien au-delà de ce que nos outils actuels savent mesurer.
Vous n’êtes pas une machine.
Vous n’êtes pas la somme froide de vos organes, de vos chiffres, de vos bilans.
Vous êtes un champ cohérent de lumière, d’eau, de minéraux, de rythmes, de mémoire.
Chaque cellule porte une intelligence, chaque organe pulse selon une cadence unique, chaque émotion module la biologie de l’instant.
La biologie n’est pas seulement une question de chimie ou d’équilibre acido-basique.
C’est une partition subtile où chaque élément, chaque trace, chaque vibration compte.
Le terrain, c’est le chef d’orchestre.
Et vous êtes, à chaque instant, l’auditeur, le musicien, et parfois le compositeur de cette symphonie.
Retrouver la logique du terrain, c’est retrouver l’écoute, la conscience, la responsabilité.
C’est se replacer dans le flot du vivant, non plus comme spectateur ou victime, mais comme acteur, co-créateur.
Ce retour du vitalisme n’est pas une mode.
C’est une urgence.
Un mouvement naturel, irrépressible, qui surgit à chaque fois que l’humain, lassé des fausses promesses et des protocoles dévitalisés, sent vibrer en lui l’appel de la cohérence.
Ce n’est pas le passé, c’est l’avenir.
Et il est temps d’y revenir.
11⚡ La vérité qu’ils ont enterrée
Ils n’ont pas seulement effacé le terrain dans les manuels.
Ils ont effacé l’essentiel : vous.
Votre capacité à sentir, à ajuster, à guérir, à vous adapter.
Votre pouvoir intérieur, votre souveraineté sur votre propre santé.
À force de vous répéter que vous n’êtes qu’un champ de bataille, une proie pour les germes, un paquet de symptômes à “gérer”, ils vous ont coupé de l’intelligence de votre corps.
On vous a appris à craindre chaque frisson, à suspecter chaque variation, à chercher la solution dans la pilule, l’injection, le dispositif.
On vous a vendu la dépendance, le doute, l’aliénation.
Mais la vérité, la vraie, c’est que vous êtes un sol vivant.
Un terrain capable d’évoluer, de s’ajuster, de régénérer, de transformer chaque agression en apprentissage.
Vous n’êtes pas ce champ de ruines qu’on décrit dans les campagnes de peur.
Vous êtes le terreau de la vie, la matrice de votre propre vitalité.
Ce qu’on a fait, méthodiquement, c’est d’empoisonner le sol, d’épuiser le terrain, de rendre l’écosystème malade — puis d’accuser l’envahisseur, le microbe, le hasard.
On a transformé la richesse du vivant en un désert, pour mieux vous vendre la promesse du salut extérieur.
La conséquence ?
Une population coupée de ses propres ressources, dépendante à vie d’une industrie qui ne soigne pas, mais entretient la peur et la fragmentation.
Mais la vérité, elle, continue de vibrer sous la surface.
Elle ne demande qu’à émerger, à renaître, à guider une autre façon d’habiter son corps et le monde.
Retrouver le terrain, c’est retrouver la puissance qu’on vous a volée.
Ce n’est pas une métaphore, c’est un acte de reconquête.
12 🔮 Ce qui émerge
Le mouvement du terrain ne fait que recommencer.
La vague monte, portée par une génération qui ne se contente plus de colmater, de consommer, de survivre.
Elle veut comprendre. Elle veut sentir.
Elle veut redevenir auteur et gardien de son écologie intérieure.
Un nouveau cadre émerge, plus vivant, plus subtil, plus exigeant aussi.
Il ne s’agit pas d’un hack, d’une pilule, d’un “protocole” miracle, d’une mode passagère.
Il s’agit d’un retour à l’intelligence originelle : celle du terrain.
Un système ressenti, vécu, incarné.
Un dialogue intime avec le vivant : lumière, eau, minéraux, rythme, émotions, champs invisibles… tout compte, tout s’influence, tout s’ajuste.
La médecine de demain ne sera pas un nouveau gadget ni un rebranding marketing du même paradigme mortifère.
Elle sera un accompagnement à la cohérence, à l’écoute, à la responsabilité.
Ce que tu vis, ce que tu ressens, ce que tu comprends de ton terrain — c’est ta boussole.
Ce n’est pas une théorie, c’est la réalité la plus tangible.
Celle qui échappe à la capture, à la monétisation, à la réduction.
Prépare-toi à voir fleurir de nouveaux discours, de nouveaux labels, des “retours à l’essentiel” qui sentiront bon le marketing opportuniste.
Reste lucide.
Car la vraie révolution n’est pas à acheter : elle est à ressentir, à incarner, à vivre.
Plus tu retrouves ton terrain, plus tu redeviens libre.
C’est cette liberté-là qui menace le système, et c’est elle qui va, petit à petit, changer la donne pour tous ceux qui choisiront la voie du vivant.
Le terrain n’est pas une mode.
C’est le vrai retour à la santé.
Il n’appartient à personne. Il se vit.
Et pour conclure : Revenir au terrain, redevenir vivant
Revenir au terrain, c’est bien plus qu’une stratégie santé.
C’est un choix de vie, une reconquête de sa souveraineté, une réponse à la déshumanisation galopante.
C’est refuser la fragmentation, la peur, la dépendance organisée.
C’est renouer avec l’intelligence de son propre sol, réapprendre à écouter, à ajuster, à ressentir — et à faire confiance à ce que le vivant murmure en nous.
Depuis des années, j’ai choisi de consacrer mon énergie à cette mission : remettre la physiologie, la vitalité et l’autonomie au centre de nos existences.
Je ne suis pas né “vitaliste”.
Comme beaucoup, j’ai d’abord été informaticien, rationnel, disséqué, pressé par la logique et le rendement.
Mais le corps, la santé, la vie elle-même m’ont rappelé à l’ordre.
Ce rappel, je veux le transmettre, l’amplifier, le rendre contagieux.
Je rêve d’un monde où chacun, à son rythme, retrouvera le pouvoir de se comprendre, de se soigner, de s’incarner — sans plus déléguer sa vitalité à une industrie de la peur.
C’est ce chemin que je trace, à travers Vitalholis.
Une voie exigeante, mais lumineuse.
Une aventure faite de partages, de retours d’expérience, d’outils, de science vivante, de traditions retrouvées — pour toutes celles et ceux qui veulent réapprendre à faire confiance au vivant.
Si tu ressens cet appel, si tu veux avancer sur ce chemin, sache que tu n’es pas seul.
Ici, tu trouveras des clés, des analyses, des ressources, des témoignages, une présence.
Car oui, ma mission est de toucher le plus d’âmes possible, d’inspirer le passage à l’acte, d’accompagner chacun dans cette transition fondamentale — et, peu à peu, de faire du terrain la norme, non l’exception.
Je poursuis cette œuvre avec l’espoir qu’un jour, la société elle-même, à force d’individus alignés, renouera avec la puissance du vivant.
En attendant, je continue à bâtir, à informer, à relier.
Et je t’invite, simplement, à cultiver ton terrain, à écouter ta cohérence, à transmettre à ton tour.
Le vivant a toujours le dernier mot.
Faisons-le entendre, ensemble.
les bases, essentielles et si bien amenées. 🫶🏼