Cordyceps, jeûne et renaissance : reprendre le contrôle du vivant
La thérapie était artificielle. La guérison sera organique.
I - Et si nous osions regarder en face ce que beaucoup refusent encore d’admettre ?
Beaucoup de personnes, à juste titre, préfèrent ne pas revisiter les chapitres sombres de leur vie.
Mais fuir ne guérit rien.
L’évitement, aussi légitime soit-il, entretient la blessure.
Et parfois, la seule vraie issue, c’est le face-à-face.
Avec lucidité. Avec courage. Avec une énergie nouvelle.
Il y a plus de cinq ans, un bouleversement planétaire a été décrété.
Dans la foulée, des injections expérimentales ont été imposées au nom de la santé publique.🤡
Pas de débat. Pas de recul.
Juste des slogans. De la peur. Et une pression systémique sans précédent.
Ces injections, qu’on a appelées “vaccins”, n’avaient pourtant rien de conventionnel.
Aujourd’hui, les preuves s’accumulent. Les langues se délient.
Et les dégâts émergent, partout.
Des millions de personnes, souvent bien intentionnées, ont accepté l’injection :
par confiance, par crainte, par fatigue… ou par obligation sociale.
Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui regrettent.
Et comment ne pas les comprendre ?
Inflammation chronique. Maladies auto-immunes. Troubles neurodégénératifs. Myocardites. Cancers.
Le tout dans un silence médical glaçant, où les victimes sont trop souvent abandonnées, ignorées, voire purement et simplement supprimées par le système même censé les protéger.
Cette trahison a laissé des traces profondes : perte de confiance, isolement, cynisme, dépression…
Certains ont perdu espoir.
Mais d’autres cherchent encore.
Et c’est pour eux que j’écris ces lignes.
Car il existe une voie. Une voie de compréhension. De régénération. De retour à l’équilibre.
Une voie pour retrouver l'intégrité biologique, l’énergie vitale, la souveraineté.
Elle ne viendra pas des protocoles officiels encore moins de de ceux qui vous ont trahis.
Mais elle est là, à portée.
Et elle commence par une vérité :
🧠 Le vivant n’est pas une machine. Il est résilient. Il peut se réparer.
À condition d’en comprendre les lois.
À condition d’agir, avec intelligence et audace.
Les mécanismes d’agression post-injection : comprendre pour réparer
On ne peut réparer ce qu’on ne comprend pas.
Les injections géniques, contrairement aux vaccins traditionnels, ne contiennent ni virus atténué ni antigène directement identifiable.
Elles contiennent de l’ARN messager synthétique encapsulé dans des nanoparticules lipidiques (LNP), censé pénétrer nos cellules et les forcer à produire la protéine spike du SARS-CoV-2.
Mais voilà le problème :
ce que la propagande a vendu comme un “progrès” s’est révélé être, chez beaucoup, une ingérence génétique systémique.
⚠️ 1. Une spike persistante et toxique
Contrairement à ce qu’on a martelé, la protéine spike n’est pas éliminée en quelques jours.
De nombreuses études ont détecté la spike :
dans le sang plusieurs mois après l'injection
dans le cœur, le foie, la moelle osseuse, le cerveau
chez des patients atteints de myocardites, encéphalites, troubles neuropsychiatriques
🧪 La spike agit comme une toxine :
elle perturbe les jonctions endothéliales → inflammation vasculaire
elle interfère avec les récepteurs ACE2 → dérégulation du système RAA
elle traverse la barrière hémato-encéphalique → neuroinflammation
Faisons un petit Zoom sur ces 3 dégradation , cette introduction est necessaire.
L’endothélium, c’est la couche de cellules qui tapisse l’intérieur de tous les vaisseaux sanguins — des artères jusqu’aux capillaires.
Ces cellules sont connectées entre elles par des jonctions serrées, un peu comme des briques solidement jointes par du ciment. Ces jonctions maintiennent :
l’étanchéité des vaisseaux,
la régulation de la pression sanguine,
la non-intrusion de molécules inflammatoires ou toxiques dans les tissus.
👉 La protéine spike a été observée comme capable de dégrader ces jonctions. Elle active des enzymes (comme les métalloprotéinases) et stimule des signaux inflammatoires (TNF-α, IL-6) qui rendent la paroi perméable, “fuyante”.
🔁 Résultat :
les capillaires deviennent poreux,
des globules blancs et cytokines envahissent les tissus,
une inflammation locale ou systémique s’installe,
favorisant des troubles vasculaires, des œdèmes, et dans certains cas, des microthromboses.
💢 2. Elle interfère avec les récepteurs ACE2 → dérégulation du système RAA
Le récepteur ACE2 est une enzyme-clé du système rénine-angiotensine-aldostérone (RAA). Ce système régule :
la pression artérielle,
la volémie (volume sanguin),
l’équilibre sodium/potassium,
l’inflammation vasculaire.
Le problème ?
La protéine spike se lie précisément à ACE2 pour entrer dans les cellules.
Mais ce faisant, elle diminue l’expression d’ACE2 et empêche son bon fonctionnement.
Or, ACE2 a un rôle protecteur :
il dégrade l’angiotensine II, une molécule hypertensive et pro-inflammatoire.
👉 Quand ACE2 est bloqué par la spike, l’angiotensine II s’accumule :
la tension artérielle monte,
les tissus s’inflamment,
le risque de fibrose, d’atteinte cardiaque et de dérégulation rénale augmente.
Ce déséquilibre du système RAA a été observé notamment dans les cas de myocardites post-injection, d’hypertension inexpliquée ou d’insuffisance rénale aiguë.
🧠 3. Elle traverse la barrière hémato-encéphalique → neuroinflammation
La barrière hémato-encéphalique (BHE) est une sorte de filtre biologique très sélectif entre le sang et le cerveau. Elle est censée empêcher les agents pathogènes, toxines ou protéines étrangères de pénétrer dans le système nerveux central.
Or, des études animales et humaines ont montré que la protéine spike peut franchir cette barrière, surtout si celle-ci est affaiblie par :
le stress,
des infections antérieures,
des toxines ou une inflammation chronique.
Une fois dans le cerveau :
la spike active la microglie (les cellules immunitaires du cerveau),
déclenche une production de cytokines pro-inflammatoires,
perturbe les neurones, les synapses, la production de neurotransmetteurs.
🎯 Cela peut entraîner :
fatigue cérébrale, brouillard mental,
troubles de la mémoire et de la concentration,
anxiété, troubles du sommeil,
voire des symptômes proches de maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer).
💥 4. Altération du système immunitaire
L’ARN messager synthétique (modRNA) contient des nucléosides modifiés (pseudouridine, etc.) pour échapper à la détection du système immunitaire.
Mais cette astuce crée un état d’immunotolérance :
baisse des interférons de type I
suppression des réponses antivirales classiques
dérégulation des lymphocytes T et B
➡️ Résultat : augmentation des infections opportunistes, des cancers à croissance rapide, et des pathologies inflammatoires non contrôlées.
Zoomons sur ces 3 étapes, encore une fois c’est necessaire pour bien appréhender la suite :
🛡️ Ce que l’ARNm modifié fait au système immunitaire
Les laboratoires ont affirmé que les injections ARNm « stimulent l’immunité ».
Mais la réalité immunologique est beaucoup plus nuancée.
Car ces injections n’activent pas une immunité naturelle complète :
elles bloquent des réponses clés tout en dérégulant la symphonie immunitaire.
Voici comment :
❌ 1. Baisse des interférons de type I : le système d’alerte saboté
Les interférons de type I (IFN-α, IFN-β) sont les sentinelles de l’immunité antivirale innée.
Ils sont produits en quelques minutes dès qu’une cellule détecte un virus ou un ARN étranger.
Ils servent à :
alerter les cellules voisines,
bloquer la réplication virale,
activer les cellules NK (tueuses naturelles),
amorcer la réponse adaptative (T et B).
👉 Or, l’ARNm injecté est modifié chimiquement (avec de la pseudouridine) pour ne pas activer ces interférons.
Pourquoi ?
Parce que dans les premières phases de développement, les interférons bloquaient la production de spike… ce qui nuisait à l’efficacité « vaccinale ».
Résultat :
le système d’alerte antiviral est contourné.
Le corps ne sonne pas l’alarme comme il le ferait avec un vrai virus.
🎯 Conséquence :
plus de vulnérabilité aux infections virales (COVID, VRS, zona…),
augmentation des réactivations virales latentes (EBV, CMV, HSV),
affaiblissement global de la vigilance immunitaire.
❌ 2. Suppression des réponses antivirales classiques : pas de vraie mémoire
Un vaccin classique stimule généralement une réponse globale et coordonnée :
immunité innée (inflammation brève, interférons, phagocytose),
immunité adaptative (activation des lymphocytes T et B),
génération de cellules mémoire stables.
Mais les injections à ARNm ne miment pas une infection naturelle.
Elles forcent la production de spike, dans des cellules qui ne sont pas censées la produire, sans danger immédiat perçu.
👉 Résultat :
activation déséquilibrée de certaines branches immunitaires (souvent les T helper 2, allergiques/inflammatoires),
pas ou peu de cellules T mémoire cytotoxiques durables,
un contournement des voies classiques de présentation antigénique (HLA I/II).
C’est comme si le système immunitaire apprenait une leçon faussée, incomplète, voire confuse.
❌ 3. Dérégulation des lymphocytes T et B : confusion durable
Les lymphocytes T et B sont les bras armés de l’immunité adaptative.
Les T CD8+ détruisent les cellules infectées ou tumorales.
Les T CD4+ orchestrent la réponse immunitaire (Th1, Th2, Treg, etc.).
Les B produisent des anticorps spécifiques.
👉 Post-injection, on observe :
une augmentation temporaire de certains T effecteurs (Th1/Th2), souvent déséquilibrée,
une diminution des T régulateurs (Treg) qui évitent l’auto-immunité,
une production d’anticorps à courte durée de vie, souvent dirigés contre des versions de la spike déjà mutées.
Et surtout, on constate chez certains :
un effondrement progressif des lymphocytes T CD8+ (cancers, zona, infections virales récidivantes),
des troubles auto-immuns, du fait de l’activation confuse contre des protéines proches des nôtres (mimétisme moléculaire),
des lymphopénies chroniques.
🧠 Le système immunitaire n’est plus guidé.
Il est sur-stimulé à certains endroits, inhibé à d’autres.
Comme une armée sans commandement.
🔬 5. Fragmentation génétique et “reprogrammation” cellulaire
Des études récentes stipulent que des fragments d’ARNm et de protéines spike peuvent être intégrés de manière aberrante dans :
les exosomes
les mitochondries
mais aussi dans l’ADN via la transcriptase inverse de LINE-1
📉 Cela perturbe durablement la transcription génétique, la régulation des protéines et les mécanismes de réparation cellulaire.
🦠 6. Hyperinflammation et dérive auto-immune
Chez les individus prédisposés ou affaiblis, l’injection agit comme un détonateur inflammatoire :
activation incontrôlée des macrophages
production excessive de cytokines pro-inflammatoires (IL-6, TNF-α…)
confusion antigénique entre spike et tissus humains → mimétisme moléculaire
→ Cela déclenche des troubles auto-immuns, douleurs chroniques, troubles endocriniens, etc.
💀 7. Effondrement mitochondrial
Les mitochondries — centrales énergétiques de la cellule — sont extrêmement sensibles :
au stress oxydatif
à l’inflammation chronique
aux protéines exogènes intracellulaires
L’exposition prolongée à la spike, aux nanoparticules lipidiques ou à certains contaminants (LPS, ADN plasmidique) sabote le métabolisme énergétique.
🧯 Résultat : fatigue chronique, fibromyalgie, brouillard mental, dérèglement hormonal, perte de force vitale, maladies auto-immunes etc etc…
🧩8. Pour finir sur les effets nefastes
Nous sommes face à une attaque multidimensionnelle :
génétique
mitochondriale
immunitaire
neurologique
vasculaire
La solution ne peut être qu’intégrative et régénérative, à l’échelle cellulaire.
👉 Et c’est précisément là qu’interviennent les piliers comme le jeûne et le Cordyceps militaris, que nous aborderons dans la la suite de l’article.
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