Petit à petit je reprends un certain nombre d’article que j’avais déjà écris sur Vitalholis X je les enrichis les développe et surtout tente de vous donner des clés de compréhension pour adapter votre mode de vie vitaliste et aujourd'hui particulièrement celui de vos progénitures. Vous connaissez certainement le plan à la fin de cet article mais vous allez peut être apprendre un certain nombre de choses sur le développement et l’articulation de ce dernier.
Aujourd’hui il s’agit de comprendre sans aller bien loin en terme de recherches pourquoi les bébés et les enfants d’une manière générale sont plus vulnérables aux ondes ou CEMNn ou encore nnEMFs.
Mais d’abord revenons à leur définition :
CEMN / nnEMF = Champs ÉlectroMagnétiques Non-naturels (en anglais non-native ElectroMagnéticFields) :
Les fameuses ondes électromagnétiques qui nous iradient quotidiennement (électricité, Wi-Fi, 4G/5G, Bluetooth, objets connectés, babyphones…), par opposition aux champs naturels (soleil, résonances de Schumann, champ géomagnétique terrestre).
Basse fréquence (ELF, 50/60 Hz) : réseau électrique, transformateurs, moteurs, plaques à induction.
Fréquences intermédiaires (kHz–MHz) : alimentations à découpage, CPL, certains écrans/appareils.
Radiofréquences (MHz–GHz) : Wi-Fi, BT, 4G/5G, box/routeurs, objets connectés.
➡️Rappelez vous que la Dose reçue = intensité × durée, amortie par la distance (elle fait chuter l’énergie très vite).
A retenir donc : proche + longtemps pèse plus que loin + bref.
➡️Rien à voir avec la lumière du soleil, la nuit noire, le champ terrestre ou les résonances naturelles : c’est du bruit synthétique injecté dans un organisme qui a évolué des millions d’années sans ça, un véritable perturbateur exogène pro inflammatoire.
Le vivant fonctionne sur des rythmes (jour/nuit), des gradients (ions, protons), de la cohérence (membranes, eau intracellulaire, collagène) et des cycles charge/décharge (parasympathique ↔ sympathique).
Les nnEMF introduisent :
des pulsations et modulations qui parasitent le timing / rythme cellulaire ;
une proximité continue (antennes et émetteurs partout / tout le temps) inconnue dans l’histoire du vivant ;
une densité et une multiplicité de sources qui empêchent le système nerveux de retomber en vagotonie (sommeil, réparation).
➡️Petit rappel :
ELF : multiprises au sol, transfo de chargeur, plaque à induction, moteur de frigo.
Intermédiaires : box + CPL, chargeurs rapides, variateurs.
RF : routeur/mesh, répéteur, smartphone, montre/écouteurs BT, babyphone, domotique.
➡️Distance. Temps. Tête.
Distance : Plus tu t’éloignes → plus l’énergie reçue s’effondre.
Temps : coupe la nuit à minima (quand je dis nuit c’est au coucher du soleil) → c’est là que tu récupères.
Tête : garde les émetteurs loin de la tête (sommeil/berceau).
Focus sur BEBE :
Le cerveau d’un bébé n’est pas une version miniature de celui d’un adulte. Il est plus hydraté, moins isolé (peu myélinisé) et en plein câblage.
Dans les tissus solides (os, cerveau), la chaleur ne se diffuse pas comme l’eau du robinet : elle suit des chemins lents et inégaux. Des micro‑zones peuvent concentrer l’énergie sans échauffement global visible.
Les signaux sans fil (Wi‑Fi, téléphonie, babyphones, gadgets) ne déposent pas l’énergie uniformément. Certaines fréquences interagissent davantage avec l’eau, les protéines et les parties chargées des cellules.
Une cohorte prospective de nourrissons a trouvé qu’une exposition domestique plus élevée était associée à des scores plus faibles dans des domaines cognitifs (dont la résolution de problèmes) et sociaux personnel.
En d’autres termes, le cerveau d’un enfant n’est pas une version réduite de celui d’un adulte ; c’est un organe très hydraté, faiblement isolé, dont le câblage se met en place rapidement, où la chaleur et les champs se déplacent d’une façon que le cerveau adulte ne connaît pas.
Les recherches thermophysiques d’Anne Hofmeister démolissent l’idée qu’« un léger échauffement » soit anodin. Dans les corps solides, comme le crâne et le cerveau, la chaleur ne peut pas simplement s’écouler comme de l’eau dans un tuyau. Elle circule par des voies lentes et spécifiques, et certaines zones la piègent.
es signaux sans fil ne répartissent pas leur énergie de manière uniforme. Ils arrivent sous forme de tonalités précises qui se verrouillent sur l’eau, les protéines et les parties chargées de vos cellules.
Chez l’enfant, à travers un crâne mince et la moelle, ces tonalités pénètrent plus profondément, se dispersent dans le liquide céphalo-rachidien et se trouvent piégées par des frontières biologiques, créant des points chauds qu’on ne peut pas mesurer au thermomètre.
Les cellules souches de la moelle et les axones non myélinisés du cerveau baignent dans un bain électromagnétique où phonons et photons sont guidés par chaque membrane, fibre de collagène et filament du cytosquelette.
Dans ce micro-labyrinthe, l’énergie sans fil absorbée n’est pas partagée uniformément : elle se concentre, modifie la signalisation calcique, perturbe les potentiels mitochondriaux et chuchote jusque dans le code même de la synchronisation neuronale. Pour un cerveau qui règle encore ses horloges, ces chuchotements peuvent devenir permanents ; et une fois la synchronisation écrite, on ne peut plus la défaire.
Nous en voyons déjà le coût : les enfants qui grandissent dans un bain sans fil permanent présentent des taux croissants de troubles neurologiques, immunitaires et métaboliques.
On va essayer de zoomer sur chaque partie : ⤵️
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